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squats >>>
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Re: squats >>>
Un répit pour les squatteurs de La Courneuve
FRANCE INFO - HIER, 21:02
FRANCE INFO - HIER, 21:02
La communauté d’agglomération Plaine Commune, qui demandait l’expulsion de dizaines de personnes installées dans des tentes sur une place de La Courneuve (Seine-Saint-Denis), a été déboutée par le tribunal de Bobigny. Il s’est déclaré incompétent. Depuis près de six mois, des centaines de familles "vivent" sous des tentes installées sur une place au cœur de la Cité des 4.000, faute de logement. Cette décision judiciaire leur permet de rester sur place, mais dans des conditions précaires. Ils n’ont pas de logements pour autant.
Une centaine de familles dorment, serrées les unes contre les autres, sous des tentes rondes minuscules, qu’elles ont posées juste au pied de leur ancienne barre d’immeubles, la célèbre barre Balzac, démolie en juillet 2010.
Peu après la destruction, un hébergement leur avait été offert par l’Etat, dans des hôtels sociaux. Mais en avril 2011, ces expulsés de la barre Balzac ont été à nouveau chassés. De leur chambre d’hôtel d’urgence cette fois. Ils sont donc revenus s’installer à quelques mètres des ruines de leur ancien logement, au milieu de la cité des 4000 de La Courneuve, sur la place de la Fraternité.
Avec cette décision judiciaire, elles vont pouvoir rester sur cette place, mais dans des conditions de dénuement extrêmes.
L’association Droit au Logement (DAL) réclame ce soir une table ronde avec le préfet, le conseil général et Plaine Commune, pour reloger toutes ces familles.
Des centaines de familles vivent sous des tentes installées sur une place au cœur de la Cité des 4.000, à la Courneuve. Sophie Parmentier. (3'47")
Re: squats >>>
Incendie dans un squat de Roms à Paris : un corps découvert
france info
france info
Un corps a été retrouvé ce mardi soir dans les décombres d’un hangar désaffecté rue des Pyrénées à Paris, après un incendie survenu hier soir.
Le corps n’a pas encore été identifié. Le parquet a confié une enquête en flagrance à la police judiciaire.
Aujourd’hui, le Collectif contre la xénophobie a affirmé que des "individus en cagoule (avaient) attaqué la Maison des Roms (...) à coups de cocktail Molotov".
L’incendie de ce squat, où vivaient 114 Roms dont 43 enfants, avait également fait deux blessés légers hier soir.
Re: squats >>>
Fontenay : 11 interpellations dans l’évacuation d’un squat d’anarchistes
http://www.leparisien.fr/selection-editeurs/fontenay-11-interpellations-dans-l-evacuation-d-un-squat-d-anarchistes-14-11-2011-1719381.php?google_editors_picks=true
http://www.leparisien.fr/selection-editeurs/fontenay-11-interpellations-dans-l-evacuation-d-un-squat-d-anarchistes-14-11-2011-1719381.php?google_editors_picks=true
Ce matin à 7h15, 11 jeunes anarchistes ont été évacués d’un squat où ils s’étaient installés en février dernier. Les jeunes de 18 à 25 ans vivaient dans l’ancienne école privée protestante Jeanne d’Albret, place Moreau-David, près de la gare du RER A de Fontenay-sous-Bois. Les squatteurs ont été évacués par la police, à la demande du propriétaire privé du lieu, et ont été conduits au commissariat pour une vérification d'identité.
Ils en sont ressortis libres.
Ces jeunes avaient été jusqu’à une quarantaine dans cette ancienne école, où ils organisaient notamment des soirées en lien avec l’actualité. Les voisins s’étaient notamment émus du bruit à l’occasion d’un grand rassemblement de protestation contre la construction d‘une ligne de train à grande vitesse en Italie.
Re: squats >>>
http://fr.globalvoicesonline.org/2011/12/26/92652/espagne en lutte pour le droit au logement
Le cocktail explosif de bulle immobilière, crise financière et chômage massif prive de logement des milliers de familles en Espagne. Mais les victimes des expulsions hypothécaires ne sont pas anonymes, elles ont des noms et des histoires à raconter.
Francisco a dû quitter Getafe (à Madrid) cette semaine ; Sheila et Medeleine, mères seules de cinq enfants, vont être expulsées de leurs logements à Barcelone ; Alex et sa famille, sont retournés comme okupas (de ‘occuper') dans le logement qu'ils avaient perdu dans la localité catalane de Terrassa.
Ils avaient tous contracté des crédits immobiliers dans les années de prospérité supposée et de crédit facile, se sont retrouvés sans revenus et ne peuvent pas rembourser. Non seulement ils ont perdu leurs appartements, mais ils sont endettés. Ils sont des milliers dans la même situation. Ils sont sortis de l'anonymat grâce à un collectif de militants, composé de personnes concernées et de sympathisants, unis en une campagne de résistance non-violente pour mettre fin à la crise. Le mot d'ordre est sans ambiguïté : “Nous ne laisserons pas les banques nous jeter dehors.”
Ce genre de guérilla contre les expulsions est née en 2009 à Barcelone lorsqu'un groupe de victimes a créé la Plate-forme des personnes affectées par les hypothèques (PAH en espagnol), pour dénoncer ces abus et la protection juridique des entités financières. ”Ni les banques ni les pouvoirs publics ne s'intéressent à notre tintamarre,” affirment-ils dans leur blog. “Résister aux expulsions, c'est les défier, se dresser contre eux, les considérer d'égal à égal (…). Notre maison est notre instrument de lutte, notre moyen de pression, notre plus grande alliée.”
En novembre 2010, ils ont remporté une première victoire : paralyser une première expulsion près de Barcelone et empêcher Lluís et son fils de 13 ans de se retrouver à la rue.
Le PAH a poursuivi sa tâche jusqu'à recevoir ce printemps un renfort inattendu : l'appui des collectifs qui font partie du mouvement du 15M. Il existe à présent des groupes analogues, parmi lesquels des assemblées de quartier, et des organismes sociaux et locaux de nombreuses villes d'Espagne qui se battent pour le droit à un logement décent. Le PAH assure avoir empêché au total 109 expulsions.
Un nombre important, mais il reste beaucoup à faire si on tient compte qu'entre 2007 et 2011, près d'un demi-million d'expulsions sont attendues en Espagne (il y a eu 32.000 procédures au premier semestre de cette année et près de 48.000 en 2010, selon les chiffres du Conseil Général de la Justice [en espagnol].)
Alliance numérique
La mobilisation s'appuie sur une solide composante en ligne, à partir de laquelle elle organise et met en relation les personnes affectées avec les activistes et le reste de la société. La page web Stop aux expulsions [en espagnol] a été créée en juin avec pour but de générer un réseau d'alertes et une carte nationale du drame. Quiconque devient victime d'une expulsion hypothécaire peut y ajouter son cas et déclencher un mécanisme de coordination pour obtenir de l'aide.
Les alertes sont aussi diffusées par les comptes Twitter de la campagne, @LA_PAH et @stopdesahucios, et les mots-clics #stopdesahucios (#stopauxexpulsions) et #stopdesnonaments (”stop aux expulsions en catalan). Et ça marche : les tweets sont retweetés et l'information circule, mettant en branle des groupes de sympathisants, des voisins et des militants pour paralyser les expulsions. En voici quelques exemples récents :
@oscartaxibcn: Mañana pararemos un desahucio 13D, Barcelona – Ciutat Meridiana. A las 08:30h, C/ Les Agudes 58b, bloque K #stopdesnonaments via @LA_PAH
@oscartaxibcn: Demain nous empêcherons une expulsion 13D, Barcelone – Ciutat Meridiana. A 8:30, rue Les Agudes, 58b, immeuble K #stopevictions via @LA_PAH
@alertadesahucio: L'Hospitalet. Parado hoy desahucio en la C. Jardín. Próxima cita el jueves a las 8 en C. Llançà, 7 miguel-delamo.blogspot.com/2011/12/otro-d…#stopdesahucios
@alertadesahucio: L'Hospitalet. Empêché aujourd'hui une expulsion C. Jardín. Prochain site jeudi à 8 h rue Llançà, 7. miguel-delamo.blogspot.com/2011/12/otro-d… #stopevictions
@GetafeAsamblea: Si conseguimos ayudar a Antonia, el miércoles hay que apoyar a Paco ¿venís?#stopdesahuciosbit.ly/sMs2pi
@GetafeAsamblea: Si nous réussissons à aider Antonia, mercredi il faut soutenir Paco. Viendrez-vous ? #stopevictions bit.ly/sMs2pi
“Famille expulsée, maison récupérée !”
Avec le temps, le PAH et 15M ont ouvert un autre front. Il ne s'agit plus seulement d'arrêter les expulsions, mais aussi de reloger des familles dans des immeubles vacants suite à la spéculation immobilière : Famille expulsée, maison récupérée ! Les premiers cas ont eu lieu à Barcelone et Madrid le 15 octobre, après les manifestations de masse dans ces deux villes. Sous le slogan “de l'indignation à l'action,” ils ont occupé un bâtiment à Barcelone, qui était la propriété d'une entreprise de construction en liquidation, et l' “Hôtel Madrid” à Madrid, destiné à être vendu aux enchères.
Les deux initiatives ont créé leur blog : Edifici 15O [en espagnol] et Hotel Madrid [en espagnol]. Même si la police délogea les familles installées dans l'Hôtel Madrid, le mouvement ne s'est pas arrêté. L'utilisateur de Twitter @Arganda15m écrivit le jour même : “Ils scandent ‘Une éviction, une nouvelle occupation' #sanslogis.”
Un mois plus tard, le 18 novembre, une affaire analogue se produisit à Barcelone, lorsque des membres de l'Assemblée des Indignés du quartier Sants, aussi participants de 15 M, occupèrent un ilôt d'appartements neufs inoccupés depuis des années. Ils installèrent cinq familles expulsées et créèrent un blog [en espagnol], ainsi qu'un compte Twitter [en espagnol], pour diffuser l'information sur le cas, connu sous le nom de “Habitatge18N” (”Maison18N” en catalan). Douze jours plus tard, l'alerte était générale [en catalan] :
@La_Directa: Els #Mossos tenen previst desallotjar @habitatge18n d'Hostafrancs aquesta matinada
@La_Directa: Les #Mossos (la police catalane) prévoit d'expulser @habitatge18n d'Hostrafrancs ce matin
@Acampadabcn: Va, som-hi! Hashtag per seguir tot el que (no) passi aquesta nit a @habitatge18n ->#totesambH18n Recordem: c/ Hostafrancs, 3
@Acampadabcn: Allons-y ! Le hashtag pour suivre tout ce qui (n') arrivera (pas) ce soir à @habitatge18n ->#tousavecH18n Rappel : rue Hostafrancs, 3
L'immeuble fut effectivement évacué ce matin-là par une opération de police controversée, qui fait l'objet, d'après le collectif, d'une enquête d'Amnesty International. Malgré cela, le projet continue et reste très actif.
Les actions contre les expulsions ont capté l'attention médiatique et certaines propositions défendues font leur chemin dans l'agenda politique. C'est le cas de “dación en pago [en espagnol],” une loi qui éteindrait la dette avec la remise du logement, comme dans d'autres pays d'Europe. Il en est aussi résulté le relogement d'un certain nombre de familles dans des appartements subventionnnés, et la demande de municipalités que la législation sur le crédit hypothécaire soit modifiée.
Il y a concrètement de quoi se réjouir, et en voici les témoignages sur Twitter le 30 novembre :
@acampadasol Cumpleaños feliz para @La_PAH: 100 desahucios paralizados, ¡sí se puede! bit.ly/tBUefB#stopdesahucios
@acampadasol Heureux anniversaire à @La_PAH: 100 expulsions paralysées, oui nous pouvons ! bit.ly/tBUefB#stopdesahucios
et en réponse :
@LA_PAH: “@acampadasol felicidades tb a vosotr@s! es una victoria de tod@s!”
@LA_PAH: “@acampadasol Félicitations à vous aussi ! C'est une victoire de tous !
Ce billet fait partie du dossier de Global Voices sur la crise en Europe.
niouze- Messages : 5054
Date d'inscription : 18/05/2009
Re: squats >>>
il risque l'expulsion ...
L'association Émergence à Toulouse passe en jugement le 10 février, ils occupent le 29 av. St Exupéry (ancienne école de cirque de Toulouse) afin de développer un lieu d’ouverture culturelle à ses adhérents, artistes en résidence et diverses associations de la ville.
Ils sont accusés d'occuper le lieu sans droit ni titre, de recevoir du public dans des locaux inadaptés.
Le bâtiment appartenant à la ville de Toulouse est inhabité depuis 4 ans.
http://emergencetoulouse.wordpress.com/2012/02/06/notre-projet-votre-soutien/notre projet, votre soutien!
Posted: 6 février 2012 in Uncategorized
0
L’émergence entrezone culturelle autogérée
Le collectif émergence a réquisitionné le 2 décembre dernier l’ancien
Lido afin de poursuivre son projet d’entrezone culturelle. En effet, notre
collectif, créé en mai 2011, occupait un bâtiment appartenant aux
réseaux ferrés de France. Durant quatre mois et demi, nous avons
relayé pas moins de 70 artistes, 15 nationalités mêlant concert, théâtre, performances,
et ateliers en tout genre avec un seul mot d’ordre: faire presque tout
avec presque rien. Malheureusement le droit d’usage ne pèse pas grand
chose face au droit de propriété, ainsi les CRS nous expulsent à 6h un
matin d’octobre.
Toujours pas guéris de notre désir de voir « émerger » les arts en tout genre. Nous continuons donc nos activités au 29 avenue Saint Exupéry. Ce bâtiment vide depuis 2008, avec toute son histoire, nous est apparu comme une évidence !
Notre projet s’articule en trois points:
*proposer aux adhérents plusieurs activités : jonglerie, stages de clown, atelier philo, atelier d’écriture, atelier électronique bending, initiation à la soudure, menuiserie basée sur la récupération et détournement d’objets.
*Proposer à diverses associations, citoyens du quartier et artistes d’organiser des événements pour nos adhérents (concerts, projections, spectacles, expos, etc).
*Mettre à disposition, gratuitement, nos locaux, à toutes les compagnies (professionnels et amateurs) désirant travailler sur leurs création, conscients du manque cruel d’espace de résidences!
Ainsi, nous avons déjà accueilli 4 résidences: la Cie « Nech »(dans le cadre de la soja), la Cie « Singulière », la Cie « Accattone », et la Cie « Pile poil au millimètre ». Nous collaborons aussi avec pas déjà pas moins d’une vingtaine d’association tels que ciné2000, la meute, la maison goudoulie, l’a.r.e.a, etc…. Leurs permettent ainsi de disposer de nos locaux gratuitement.
Avis aux motivés !! Contactez nous.
Pour finir, nous souhaitons commémorer l’histoire de ce lieu à travers d’une soirée cabaret « Lido revival ». Pas moins d’une dizaine de numéros. Ce premier rendez-vous est pour le 18 février,Avec bien d’autres surprises !!!! Pleins d’autres événements a venir….
Convaincus du bien fait socio-culturelle de notre projet, nous souhaitons pérenniser ce lieu. Soutenez nous en signant la pétition en ligne!
http://www.petitionenligne.fr/petition/soutenez-l-emergence-entrezone-culturelle-autogeree/2139
niouze- Messages : 5054
Date d'inscription : 18/05/2009
Re: squats >>>
rue89Intimidation 06/03/2012 à 19h19
La police coffre une journaliste lors d'une opération de Jeudi Noir
Sophie Verney-Caillat | Journaliste Rue89
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Julien Bayou et la police lors de l'intervention rue de Châteaudun, le 2 mars 2012 (Marie Maffre)
Le collectif parisien Jeudi Noir, spécialisé dans l'ouverture de squats dans des bâtiments vides, s'apprêtait à officialiser sa prise d'un nouveau bâtiment, vendredi 2 mars rue de Châteaudun (Xe arrondissement de Paris), lorsque la police a fait échouer l'opération. Jeudi Noir n'a pas pu réitérer le succès médiatique de l'opération « Squat avec vue sur l'Elysée ».
Les militants étaient suivis par une documentariste, Marie Maffre. Celle-ci les filme depuis l'occupation de La Marquise, place des Vosges (Paris IVe) et tourne pour la société de production Kien un 52 minutes intitulé « Ainsi squattent-ils ».
Présente à l'intérieur du bâtiment lorsque les policiers y sont entrés, elle s'étonne d'être embarquée avec eux au commissariat du IVe arrondissement :
« Les policiers me connaissent, ils m'ont déjà vue filmer. Quand ils m'emmènent en garde à vue, je leur dis que je suis dans le cadre de l'exercice de mon métier. Je passe avec les quatre militants une quinzaine d'heures en garde à vue, et le samedi midi, quand ils nous relâchent, les policiers me disent qu'ils gardent ma caméra sous scellé. »
La préfecture de police nous a précisé que c'était bien le parquet qui avait demandé la mise sous scellés et que selon les éléments en possession de la police, Marie Maffre ne serait pas journaliste.
« Le signe que la police nous a géolocalisés »
Julien Bayou, l'un des fondateurs de Jeudi Noir, se dit certain que la police avait géolocalisé les militants par le biais de leurs téléphones portables. Lui, qui est arrivé dans l'immeuble vendredi en fin d'après-midi, s'explique :
« Comme à notre habitude, on a ciblé un bâtiment vide depuis longtemps, chauffé et éclairé. Là, c'est un immeuble de bureaux appartenant au groupe CIC-Crédit Mutuel, de 4000 m2. Depuis lundi, des militants se relayaient, et samedi matin, on allait annoncer à la presse l'ouverture du squat. C'était le moment décisif.
Vers 20 heures vendredi, 80 CRS ont bloqué la rue, et l'un de nos représentants a commencé à discuter avec eux. Ils lui ont dit qu'ils ne savaient pas précisément quel bâtiment c'était, ce qui serait le signe qu'ils nous avaient géolocalisés : ils savaient approximativement où nous étions en suivant nos puces de téléphones par des antennes. Or il me semble que cette procédure est interdite hors enquête. »
« Le droit d'informer doit être protégé »
L'avocat Dominique Hilsum, qui la défend dans cette affaire, précise que les militants risquent d'être poursuivis pour « violation de domicile et destruction volontaire » si le parquet décidait de poursuivre l'enquête :
« La police a certainement gardé les rushes [images non montées, ndlr] pour savoir si des actes illégaux ont été commis et pouvoir le prouver. Je suis étonné qu'on ait saisi l'outil de travail d'une personne non impliquée dans cette affaire et le droit d'informer doit être protégé absolument. »
Reste à savoir si ces rushes sont soumis à la protection des sources des journalistes. Marie Maffre n'a certes pas de carte de presse, mais son travail de documentariste pour une société de production l'assimile aux journalistes au sens de la loi du 4 janvier 2010 sur la protection des sources.
Dans un communiqué, Reporters sans frontières se dit « particulièrement inquiet », dénonce le « mépris total du respect du secret des sources, comme s'il s'agissait d'une pièce à conviction », et « réclame la restitution immédiate du matériel de la documentariste ainsi que des rushes, fruit de son travail ».
niouze- Messages : 5054
Date d'inscription : 18/05/2009
Re: squats >>>
L'emblématique squat Tacheles à Berlin évacué
http://www.lexpress.fr/culture/art/l-emblematique-squat-tacheles-a-berlin-evacue_1156781.html
http://www.lexpress.fr/culture/art/l-emblematique-squat-tacheles-a-berlin-evacue_1156781.html
Re: squats >>>
Un squat de 250 migrants évacué près de Rennes
fr info
fr info
Peu après 4 heures ce mardi matin, les forces de l'ordre ont entamé une procédure d'expulsion d'un squat installé dans une ancienne maison de retraite située à Pacé, en Ille-et-Vilaine. L'évacuation se déroule dans le calme. Plusieurs dizaines de militants du Dal et de RESF sont sur place.
250 migrants dont 70 à 80 enfants d'une quinzaine de nationalités - d'après plusieurs associations - sont en passe d'être expulsés d'une ancienne maison de retraite installée sur la commune de Pacé, à une dizaine de kilomètres à l'ouest de Rennes. Un site "réquisitionné" en mai dernier par le Dal et RESF pour offrir un toit aux demandeurs d'asile.
Les forces de l'ordre sont arrivées sur place un peu après 4 heures. Depuis "plus personne ne peut entrer ni sortir" explique un porte-parole du Dal. D'après la préfecture d'Ille-et-Vilaine, les migrants seront orientés vers les 200 logements recensés dans la région sans "aucune mise à la rue".
Re: squats >>>
http://www.brest.maville.com/actu/actudet_-Les-squatters-de-Poullic-al-Lor-deloges_fil-2277656_actu.HtmLes squatters de Poullic-al-Lor délogés
Rue Porstrein-Lapierre, des squatters ont vu, mercredi matin, leurs affaires jetées dans une benne.
La police a expulsé, hier matin, les occupants d'une maison surplombant le port de commerce. Une intervention qui laisse le champ libre à la construction d'un vaste ensemble immobilier.
Reportage
« C'est plein de souvenirs qui partent par la fenêtre pour aller dans la benne », soupire Greg. Il se tient devant le n° 7 de la rue de Porstrein-Lapierre. Comme lui, trois autres squatters se sont fait expulser hier mercredi, à 9 h, de cet immeuble à deux pas du port de commerce. Certains étaient là depuis plus d'un an.
Pas surpris par l'arrivée de la police et des démolisseurs, les anciens occupants ont regroupé leurs effets sur le trottoir. « On a pu récupérer le minimum vital, mais c'est difficile de faire le tri d'une année en une demi-heure »,poursuit Greg, 41 ans, dont quinze passés dans des squats.
Malgré la pluie, ils restent là. Plusieurs dizaines de mètres cubes sont jetées du premier étage. Une pelleteuse arrache les arbres dans le jardin. « C'était un endroit magique, la faune est exceptionnelle. Ils vont tout détruire », lance Tangi, 35 ans, en allusion au projet immobilier baptisé « Jardins de la falaise » qui devrait bientôt voir le jour.
« Les vestiges seront préservés »
Les délogés ont reçu le soutien de certains riverains. Regroupés en collectif, ils ont d'ailleurs attaqué en 2007 le permis de construire accordé par Brest métropole océane (BMO). Bien que déboutée par la cour administrative d'appel de Nantes, Monique, une voisine, prend des photos et s'indigne : « Que vont devenir les vestiges présents sur le site ? Il y a un grand four à pain, un ancien four à chaux, une fontaine appelée Fontaine aux lépreux... » Autant d'arguments qui, selon elle, auraient dû empêcher la construction de l'ensemble, situé à quelques mètres de sa maison.
Mais pour Jacques Colin, gérant de la société Iroise Promotion, propriétaire de la parcelle de 6 300 m², ce projet va au contraire « mettre en valeur les vestiges » qui, selon lui, seront conservés : « Les logements vont être construits sur les hauteurs et les ruines se trouvent en bas du terrain. » Jacques Colin espère voir les dix immeubles de deux à trois étages sortir de terre au cours du printemps prochain.
Sur les hauteurs du port de commerce, les « Jardins de la falaise » remplaceront donc le squat de Poullic-al-Lor, ouvert depuis six ans.
Retour à la rue
Au total, une centaine de personnes y sont passées. Sac sur le dos, les quatre personnes expulsées sont maintenant en quête d'un nouveau lieu de vie à Brest. « On n'a eu aucune proposition de relogement », s'indigne Ulrick, 30 ans. « On va trouver autre chose, se rassure Greg, et on continuera comme ça, jusqu'à ce que les gens comprennent qu'on a juste besoin d'un toit. De toute façon, on finit toujours par retomber sur nos pattes. »
niouze- Messages : 5054
Date d'inscription : 18/05/2009
Re: squats >>>
[Thanks for the future] Première, deuxième, troisième interdiction, Nous sommes toutes des pédales noires.
Posted on 19/02/2013 by mediatours
fridgok
Du son contre les expulsions…
Le concert contre les expulsions organisé par le squat Thanks For The
Future a été interdit par la mairie de Tours le 15 février…
“le concert de les pédales noires est interdit” a décrété Prince Jean
(Germain) qui prévoit des comportements violents entre les spectateurs,
parce que… c’est comme ça chez les punks transes. Faut se méfier.
Ca fout les mickettes les punks transes, pas de ça ici. Déjà que la
mouvance anarko punk (concert des Broken en février 2012), Prince Jean il
avait dit non. Interdit. La culture c’est pas ça. Et les artristes du
Projet 244 subventionnés par Messire le roi de mauvais aloi, ils voulaient
pas non plus de cette culture là. La culture c’est eux. Le punk transe ça
devrait être interdit. Point barre.
La police était sur les lieux dès la fin d’après midi hier pour vérifier
qu’on avait bien lu leur torche cul (en pièce jointe, comique), et sûrement
pour nous protéger…de… notre propre agressivité bien sûr!
Mais nous on était ailleurs le temps d’écouter les Pédales Noires, qui ont
joué quand même. Un set absolument remarquable, qui donne une gouache
du tonnerre pour résister à leurs interdictions, leurs expulsions leur
pacification de merde leur aseptisation de la culture. Les pédales noires
sont vivantes!!
PNok
Le rendu du procès c’est mardi 19 février
On était en forme déjà mais après une chouette soirée comme ça, on est
carrément prêtes à Tout.
Thanks for The Party
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Posted in Concert, Logement / Squat, Répression, Thanks for the future | Tagged concert interdit, Les pédales noires, Thanks for the future | Leave a comment
[Cinéma Libre et Gratuit] Proj Tanneurs : “Les années suspendues”
Posted on 19/02/2013 by mediatours
les annees suspendues-page001
Bonjour à toutes et tous,
La prochaine projection organisée au Tanneurs porte sur la période
méconnue de l’autonomie ouvrière Italienne des années 70 et des luttes qui
s’y sont manifestées, à travers notamment le témoignage de plusieurs
ouvrier-es du comité de lutte de Porto Marghera.
L’affiche est en pièce jointe,
La projection des “années suspendues” aura lieu mercredi 20 février à 18h
salle 221 au Tanneurs.
Soyez nombreux-ses!
http://mediatours.noblogs.org/
niouze- Messages : 5054
Date d'inscription : 18/05/2009
Re: squats >>>
http://al-montpellier.over-blog.com/article-le-lep-expulse-par-le-gipn-la-prefecture-et-la-mairie-sombrent-dans-le-ridicule-115647466.htmlVoici le communiqué officiel du LEP par rapport à l'expulsion qui s'est déroulée vendredi...
Le 22 février à 18 heures, s’est déroulée dans le quartier Figuerolles sur le Plan Cabane l’ouverture d’un Local d’Expression Populaire. Une soixantaine de personnes a rejoint une dizaine de militants qui occupaient depuis une semaine un bâtiment désaffecté et inutilisé appartenant à la SERM (Société d'Équipement de la Région Montpelliéraine).
L’objectif est de créer un lieu convivial afin de permettre un accès gratuit et non institutionnel à la culture et plus largement à des activités ludiques et sportives. Celui-ci est tourné vers les habitants de tous âges du quartier. Lancer un cinéma gratuit est un des objectifs. Sont aussi prévus des cours de sport et de français, des ateliers de danse, de théâtre, ainsi que des contes et des goûters pour les touts petits.
Malheureusement, cet évènement a rapidement été troublé par une intervention musclée des forces de l’ « ordre » qui ont refusé toute discussion. Elles n’ont pas respecté la législation qui nécessite un passage par les tribunaux avant d’ordonner une expulsion. Ce fut une intervention brutale avec des moyens disproportionnés. Plus de 40 policiers anti émeutes ainsi qu’une vingtaine de membres de la BAC, sans compter d’autres corps de police ont investi sans ménagement les lieux. Ils ont frappé violemment plusieurs personnes en s’acharnant sur l’un d’entre eux qui tentait de filmer l’intervention, sans oublier de casser meubles et portes sans raison.
Face à ce déploiement délirant de forces de l’ordre, plusieurs résistants se sont réfugiés sur les toits, soutenus par un peu moins d’une centaine de personnes dans la rue. Allant plus loin dans la folie, la préfecture a fait intervenir le GIPN, pourtant réservé d’ordinaire aux « terroristes » et « forcenés ». Rappelons qu’une intervention du GIPN coute plus de 30 000 euros, ce qui, ajouté au déploiement policier porte le cout d’une telle intervention à entre 70 000 et 140 000 euros selon diverses estimations, quasiment le prix d’une maison.
Heureusement le GIPN n’a pas rempli ses objectifs, n’arrêtant qu’une personne. Les autres personnes sur le toit ont pu s’évaporer grâce à la solidarité des habitants du quartier.
Une telle intervention est un gaspillage pur et simple de l’argent du contribuable, pour défendre des intérêts privés. Cette répression ridicule et disproportionnée n’empêchera pas l’ouverture d’un Local d’expression populaire libre et gratuit dans les quartiers où ces besoins ne sont pas satisfaits.
niouze- Messages : 5054
Date d'inscription : 18/05/2009
Re: squats >>>
https://www.facebook.com/notes/le-kalaj/le-crea-toulouse-communiqu%C3%A9-de-presse/479541258785999Cette semaine, la Préfecture de Haute-Garonne, la Mairie, l'Office Français de l'Immigration et de l'Intégration (OFII) ont lancé une offensive jamais vue contre la Campagne de Réquisition, d'Entraide et d'Autogestion (CREA).
Lundi matin, plus de 150 flics en compagnie de la Sous-Direction de l'Information Générale (SDIG) sont venus expulser deux personnes d'un bâtiment de la CREA.
Le mercredi s'est tenu au tribunal administratif le procès du bâtiment appartenant à l'OFII dans lequel sont logés 34 adultes et 16 enfants de la CREA. Au cours de ce procès étaient présents deux agents de la SDIG pour mettre la pression aux juges, n'hésitant pas au passage à photographier et filmer des membres de la CREA.
Vendredi, le tribunal administratif a rendu sa décision dans le procès de l'OFII : expulsion sans délai de tout-e-s les habitant-e-s.
Le même jour, la Mairie de Toulouse a assigné quarante personnes habitant au centre social autogéré situé 2 rue du faubourg bonnefoy et leur a commandé de quitter les lieux.
Pendant ce temps-là, au Tribunal de Grande Instance, les juges ont fait un exemple à la demande du procureur contre trois membres de la CREA : un mois de sursis chacun, 2400 euros d'amende et 5 années de mise à l'épreuve pour de prétendues dégradations qui couvraient en réalité une expulsion illégale d'une maison réquisitionnée en novembre dernier.
Au même moment, au Tribunal d'Instance, des familles avec enfants vivant au 42 rue du faubourg bonnefoy passaient en procès au cours duquel le propriétaire a demandé l'expulsion sans délai. On s'attend au même verdict que celui du tribunal administratif car depuis plusieurs mois, le tribunal d'instance se refuse à accorder les délais légaux aux personnes vivant dans les bâtiments de la CREA.
Le soir, une autre maison de la campagne où vivent quatre adultes et deux enfants est aussi assignée devant le tribunal d'instance.
En une semaine, plus de 120 personnes ont été expulsées ou sont menacées d'expulsion. Les semaines précédentes, ce sont aussi une vingtaine de personnes, dont trois enfants qui se sont fait sortir de leurs maison.
Face à cette vague de répression, la CREA continuera de s'organiser et invite toutes les personnes à rejoindre le mouvement pour se défendre et se battre pour des formes de vie collectives et s'émanciper ensemble.
niouze- Messages : 5054
Date d'inscription : 18/05/2009
Re: squats >>>
pas d'autre info pour l'instant que celle qui tourne sur fb
https://www.facebook.com/pages/Action-Antifasciste-Paris-Banlieue/126207707507571?fref=nf
Vive la CREA !!! A.C.A.B !!!
Toulouse. Lundi 21 avril. Les membres de la Créa (Campagne de réquisition d'entraide et d'autogestion) ont subi une expulsion d'une rare violence. Dispositif répressif démesuré,passage à tabac, nombreux blessés dont un camarade hospitalisé dans un sale état ( tir de flash.ball en plein visage ), coup de pression, quatre copains toujours en Garde à vue. Bilan des personnes (familles, enfants, ...) remise à la rue. Merci de faire tourner dans vos réseaux. La solidarité est une arme!
niouze- Messages : 5054
Date d'inscription : 18/05/2009
Re: squats >>>
https://www.facebook.com/centresocialautogere.crea?fref=nfCommuniqué de la Campagne de Réquisition d'Entraide et d'Autogestion du 23 Avril 2014
A Toulouse, depuis plus de trois ans nous, familles avec enfants, étudiant.es précaires, travailleur.euses.s pauvres, galériens.nnes privé.e.s de papiers, réquisitionnons des bâtiments vides privés et publics pour nous loger, nous organiser et vivre selon nos propres moyens et nos propres besoins. Dans cette même logique, depuis plus de trois ans, insoumissibles aux logiques de l'Etat, du capital, et des politiques bourgeoises nous refusons de laisser organiser les conditions de notre misère et notre exploitation.
C'est ainsi, que lundi 21 avril, nous, habitant.e.s et soutiens du Centre Social Autogéré du 57 avenue Jean-Rieux étions obligé.es de rendre les clefs du bâtiment réquisitionné depuis octobre 2013 après que Mr Jean-Luc Moudenc, nouveau maire ressuscité de la droite toulousaine, ait personnellement « prié » le propriétaire de nous expulser sous menace d'un carnage policier. Il est clair que dans la logique de la Justice et que dans l'obsession personnelle et maladive de Mr Moudenc de « nettoyer sa ville », les intérêt des pauvres et leurs organisations ne valent rien.
C'est ainsi bien conscient de cela, que nous avions ouvert par nécessité, quelques jours auparavant, deux nouvelles réquisitions à la Roseraie que nous venions d'officialiser.
Mais dès dimanche soir et ce jusqu'à l'expulsion, se sont succédés autour de ces deux maisons : vrais et faux propriétaires, renforts massif d'agents immobiliers, policiers divers et variés s'étant tous accorder sur le même discours : notre impossibilité à rester dans les lieux quelque soient nos droits et nos déterminations. Le dispositif s’accélère le lundi après-midi lorsque nous nous trouvions à l'intérieur des bâtiments. Fort d'une plainte fallacieuse et illusoire pour violation de domicile déposée par les propriétaires, les renseignements généraux ont, dans un premier temps, tenté d'interroger plusieurs personnes identifiées de la CREA. Bredouilles, ils repartent pour mieux revenir une heure après accompagnés de plusieurs camions de CRS bloquant la rue et ordonnant l'expulsion immédiate et illégale des bâtiments, sans solution de relogement.
Après discussion, nous nous décidons à sortir des maisons, avec nos affaires et sans que personne ne soit embarqué, à qui serait intimé l'obligation de répondre de la plainte du propriétaire.
Une heure plus tard, nous nous trouvons tous dehors: habitant.tes, entourés de nos soutiens et de nombreux voisin.e.s. lorsque le lourd dispositif policier finit de se mettre en place. Nous nous interrogeons encore sur l’impressionnant arsenal mis en œuvre : plus d'une centaine de policiers de corps différents, une quinzaine de camions, brigades des CSI, BAC, Police nationale, gardes-mobiles, renseignements généraux, lorsqu'au même moment le gouvernement se pavane vulgairement dans les médias en parlant de « plans d'économies » et de « gestion sociale » du pays.
Nous déménageons nos affaires lorsque la BAC décide d'interpeller quelqu'un identifié comme « responsable ». En plus de la violence de l'intervention, s'en suit un déluge de coups de la part des tous les policiers : gaz lacrymos, tir de grenade dispersive, tir tendu de flash-ball au visage. Un autre camarade s'est écroulé au sol, se faisant secourir et transporter à l’hôpital par les voisin.e.s. Touché en pleine face, plus de la moitié des os de son visage ont explosé. Plusieurs personnes ont été blessées, et la chasse à l'homme dure plusieurs heures. De plus, quatre personnes ont été interpellées, une est toujours en garde-à-vue ce mercredi matin et une cinquante de personnes se retrouvent à la rue du fait de l'acharnement de la Mairie et de la Préfécture.
Nous adressons donc un message au nouveau maire de Toulouse et à tous ceux qui partagent ses idées et intérêts : les pauvres ne disparaissent pas à coups de tonfa magique. Les surveillances, contrôles, expulsions, répressions ne font au' accroitre nos déterminations à ne pas nous résigner au jeu des pouvoirs publics de droite comme de gauche, et à choisir pour et par nous-mêmes nos conditions d'existence. Des bâtiments sont vides, des gens sont à la rue : réquisitionnons ce qui à été construit par le peuple pour loger le peuple.
Ici et maintenant, rencontrons-nous, organisons-nous.
Tous pour Tou.tes
Pouvoir au peuple
niouze- Messages : 5054
Date d'inscription : 18/05/2009
Re: squats >>>
http://iaata.info/CREA-Retour-sur-une-apres-midi.html
Retour sur une après midi beaucoup trop fliquée
Lundi 21 avril, fin d’après-midi. La CREA réquisitionne trois jours avant deux nouvelles maisons. On récoltera coups, flashball, hôpital, blessures et garde à vue (GAV). Un récit d’une personne présente à ce moment là.
Pour savoir ce qu’est la Campagne de Réquisitions d’Entraide et d’Autogestion, c’est ici
Cela faisait plusieurs jours que des personnes, obligées de quitter très bientôt leur maison précédente, s’étaient installées dans deux belles maisons bien vides. Vouées à la destruction ou à la spéculation immobilière, on sait bien ce que vont devenir ces bat’s.
Dans la matinée, les flics passent une première fois, demandent la preuve de la présence ici. Le ton reste au départ plutôt pas trop tendu, enfin, juste des flics qui parlent à des squatteur-euses, à ce qu’ils considèrent comme la ruine de cette société... Une sorte de mépris poli, avec la menace latente de leurs matraques...
Ils reviennent ensuite. Commence alors une longue après-midi. Ils mettent la pression. Un lourd dispositif est déployé. Devant les deux maisons, deux fourgons, six BACeux [1], dans une des rues adjacentes 8 fourgons de CRS [2] et de CSI [3] , 10 dans une autre rue.
Au bout d’un moment, les soutiens arrivant de plus en plus, ils décident de donner l’ultimatum, "soit on emploie la manière douce et vous sortez de vous même, soit on y va autrement"... Les personnes présentes préfèrent partir d’elles-mêmes, beaucoup d’affaires perso sont là, les enfants, les personnes plus âgées... Le chef des opérations, qui semblait être un commissaire divisionnaire, mais qui n’était pas le coutumier Syndic, exige qu’il y ait au moins une personne qui l’accompagne pour une audition, car les propriétaires ont porté plainte. On lui répond qu’il n’y a pas besoin d’audition, tout est déjà dit. Des véhicules se ramènent petit à petit pour aider à déménager et mettre les affaires en sécurité. Les bleus en profitent pour continuer à mettre la pression, comme à leur habitude. "Ça" demande de rester sur le trottoir, alors que près de 40 personnes sont là, "ça" menace de mettre des amendes de circulation... Bref, "ça" prend la tête quoi.
Quelques personnes se dirigent vers leur voiture, pour bouger d’ici, mais les BACeux déboulent d’on ne sait où, attrapent un pote et essaient de le mettre dans leur voiture. Les autres personnes près d’eux crient et essaient de dés-arrêter le pote. Les gens qui étaient devant les deux maisons accourent en soutien. Matraques, LBD [4] 40mm, grenade de dispersion sont sortis. Des coups et des insultes sont échangées. Ils arrivent à embarquer le copain. Puis les BACeux appellent leurs copains CRS et CSI, qui étaient encore près des deux maisons. Et là ça nous défonce dans tous les sens. Une camarade qui avait pris plusieurs photos des évènements se fait arracher son appareil photo, puis les keufs shootent dedans afin de le réduire en morceaux. Trois copains se prennent des coups, se font tabasser au sol puis embarqués, crane ouvert, arcades défoncées.
Un autre pote, alors qu’il était plutôt en train d’aller à l’opposé des flics, se fait mettre en joue par le LBD, tenu par un BAC, et se fait tiré dessus. Tir tendu, depuis l’autre coté de la route, c’est à dire à pas plus de 5 mètres. Un voisin voit toute la scène, et nous permet de soigner le pote, puis nous accompagne à l’hôpital. Au dernières nouvelles (mardi 22, 3h du mat’) une bonne partie de os autour de sa pommette droite, sous son œil, sont en bouillie. Il doit attendre quelques jours que ça dégonfle et que ça ne bouge plus à l’intérieur pour savoir de quelle manière vont l’opérer les chirurgiens. On donnera des nouvelles ici.
Les 4 personnes embarquées sont placées en GAV, apparemment pour violation de domicile. Pour eux aussi, on donnera des nouvelles ici.
On ressort de cette journée avec un flot d’émotions, allant de la tristesse, de la peur pour les potes embarqués qui risquent de se faire défoncer à nouveau au comico, de la peur pour la suite des blessures au visage du copain, de l’étourdissement par tellement de choses tellement vite, des interrogations "où va-t-on dormir demain", et tellement la rage !! Ils nous ont tellement mis la rage !!
Si des personnes ont vu toute la scène et veulent bien témoigner, en prévision des potentielles poursuites et/ou d’une plainte pour coups et blessures, merci de nous envoyer vos témoignages à pantheres@riseup.net et caj31@riseup.net
Et tenez vous au courant, on aura besoin de soutien prochainement.
Solidarité partout, tout le temps. Tout pour tou.te.s Pouvoir au peuple. Pour la chute du capitalisme et de tout ce qui le maintiens.
une enragée présente
MISE A JOUR mardi 22.04.14 à 20h
3 des quatre personnes en GAV sont sorties. Une sans suites, une avec un rappel à la loi, et une avec une convocation pour un procès devant la chambre correctionnelle de Toulouse. A suivre.
MISE A JOUR mercredi 23.04.14 à 12h
La dernière personne qui était encore en GAV est sortie.
A suivre.
Notes
[1] BAC 31 : brigade anti-criminalité
[2] CRS : compagnie républicaine de sécurité, bande jaune sur le casque
[3] CSI 31 : compagnie de sécurisation et d’intervention, bande bleue sur le casque
[4] LBD : lanceur de balle de défense
niouze- Messages : 5054
Date d'inscription : 18/05/2009
Re: squats >>>
Jeudi 23 octobre, luttopia est expulsé, luttopia c’était, et ce sera, un collectif ayant réquisitionné un ensemble de bâtiment vides appartenant à l'ordre des avocats dans lequel 103 personnes, dont des familles et des enfants étaient hébergés, dans lequel des permanences sociales, médicales, des événements culturels et sportifs, des débats, projections, étaient organisés.
Ce jeudi, la réponse finale des pouvoirs publics a était d'expulser violement cette réquisition, de mettre l'ensemble des personnes à la rue et de conduire un camarade au tribunal. La violence qui est imposé nous impose de répondre collectivement.nous ne nous laisserons pas intimider par les violences policières, nous continuerons notre effort d'organisation des populations les plus précaires.
Contre la répression des réquisitions populaires !
Contre les violences policières !
Pour une vie digne et un logement décent pour tous !
Samedi 25 octobre manifestation au peyrou, 14h.
Une attaque contre l'un d'entre nous est une attaque contre nous tous.
https://luttopia.org:61443/node/67
et via mailing
Le Communiqué de Presse :
"Montpellier le 23/10/2014
La honte s'est abattue aujourd'hui sur Montpellier. Nous avons tous pu suivre, dans la presse et dans nos réseaux, l'aventure d'Utopia 001, une réquisition citoyenne de locaux appartenant à l'Ordre des Avocats de Montpellier et vacants depuis plus de 3 ans. Nous avons pu entendre dire, voir, lire ce que quelques militants avaient accompli en quelques mois : accueil de dizaines de personnes, familles, enfants, personnes âgées, jeunes gens, tous échoués à la rue, mise en place d'un suivi médical par Médecins du Monde qui tenait une permanence chaque semaine au sein d'Utopia 001, du CLAT pour un dépistage de la tuberculose dans une population à risque, mise en place d'un suivi administratif permettant à des dizaines de personnes d'exister pour l'administration française (déclaration de revenus, demande de RSA, recherche de travail, demande de logements d'urgence et de logements sociaux), mise en place d'un réseau d'approvisionnement en nourriture pour que toutes ces personnes se sentent enfin en sécurité, sorties de la rue, avec un toit sur la tête, de la nourriture en suffisance, des soins médicaux, une convivialité et une entraide.
Aujourd'hui, la vague de froid s'est accompagnée d'une marée de CRS, gazant, matraquant des personnes coupables de vouloir vivre. Utopia 001 a été, pour toutes les personnes hébergées, un havre de paix où l'isolement de la rue était enfin banni.
Aujourd'hui, la violence s'est encore octroyée des droits.
Aujourd'hui, la soumission à la misère sociale s'est provisoirement imposée.
Aujourd'hui, le bâtonnier de Montpellier a montré que ses engagements d'antan sont passés aux oubliettes.
Aujourd'hui, les militants anarchistes, communistes, syndicalistes CGT, les travailleurs sociaux du 115, les bénévoles de MDM, ... ont montré qu'eux avaient compris l'importance de ce lieu de vie et ils étaient là, présents, résistant comme ils le pouvaient, avec leur corps contre la force brutale et imbécile de ceux, qui, en face, ont probablement dans leur famille un privé d'emploi, un privé de droit tout court mais, qui n'ont toujours pas fait le lien entre ce qu'ils faisaient et ce qu'ils vivaient.
A toutes les solutions, idées et tentatives de discussion avec les autorités, avec la mairie, la préfecture, la demande d’aide sans cesse renouvelée de la part d’Utopia afin que le relais soit pris auprès de celles et ceux qui auraient dû être pris en charge par l’Etat. A tous ces appels, aujourd’hui, l’Etat français a décidé de répondre par la violence et les lacrymos.
Des personnes en situation de précarité, qui ont décidé de prendre leur vie en mains, de rompre les cercles vicieux de la rue, de s’entraider, de pallier les carences institutionnelles en proposant non seulement un lieu mais aussi et surtout des outils potentiellement pérennes pour permettre à tous de vivre dans la sécurité et la dignité auxquelles nous avons tous droit, peu importe nos parcours de
vie, des personnes qui se retrouvent aujourd’hui avec, comme toute reconnaissance, un ticket pour l’hôpital et un autre pour la rue.
Et demain ? les enfants scolarisés, les travailleurs qui doivent embaucher, les personnes en formation, les réfugiés politiques qui après avoir quitté un pays en guerre et avaient trouvé asile (légalement) en France se trouvent sans perspective, des étudiants de l’université de Montpellier, les demandes de papiers, les procédures administratives, les traitements de santé en cours, tout cela était lié à ce lieu, sans toit, plus rien n'est possible...
Abandonnés par l’Etat, matraqués et gazés par la préfecture et ignorés par la mairie.
A la veille de l’hiver, 103 personnes sont à la rue, aucune solution pour eux, ni pour tous ceux qui seront dans leur situation avec la température qui continuera inexorablement de baisser, parce que ?
Les résidents aujourd’hui à la rue d’Utopia 001, la coordination luttopia.
Luttopia@riseup.net www.luttopia.org"
niouze- Messages : 5054
Date d'inscription : 18/05/2009
Re: squats >>>
c'est la saisons des expulsions ......
http://paris-luttes.info/expulsion-du-transfo-manifestation
Expulsion du Transfo : manifestation sauvage dans les rues de Bagnolet et Montreuil
Publié le 23 octobre 2014 | Maj le 24 octobre
expulsions
Le lieu occupé le Transfo a été expulsé ce jeudi 23 octobre 2014 après deux ans d’existence.
Récit heure par heure de l’expulsion, depuis l’arrachage d’une fenêtre par les pelleteuses de la police à la manifestation sauvage et animée le soir même.
La vingtaine d’arrestations qui ont eu lieu se sont à priori toutes terminées le soir même après une simple vérification d’identité.
http://paris-luttes.info/expulsion-du-transfo-manifestation
niouze- Messages : 5054
Date d'inscription : 18/05/2009
Re: squats >>>
béh a ma connaissance de toute façon la treve hivernales ne marche pas pour les squat
niouze- Messages : 5054
Date d'inscription : 18/05/2009
Re: squats >>>
c'est des squatteur expulsable qui m'en avait parler a l'époque ; apres j'ai pas été verifier au niveau du droit ... mais une question de droit et titre (ou plutot de sans ...)
edit apres verif je suis malheureusement dasn le vrai
ceci dit j'ai découvert un truc dont je n'etait pas au courant
edit apres verif je suis malheureusement dasn le vrai
L'article L613-3 du Code de la construction et de l'habitation prévoit que les décisions de justice d'expulsion de locataire d'un appartement ou d'une maison ne peuvent pas être exécutées au cours de la trêve hivernale. Ces règles sont applicables aussi bien en cas de location d'un logement vide que d'un logement meublé.
Cependant, cette protection n'est accordée que sous certaines conditions. La loi précise ainsi que ne sont pas concernés :
- les personnes qui occupent le logement par voie de fait, c'est-à-dire les « squatters » ;
- les locataires d'un immeuble ayant fait l'objet d'un arrêté de péril ;
- les occupants dont le relogement est assuré dans des conditions suffisantes respectant l'unité et les besoins de leur famille ;
- les personnes qui occupent un logement étudiant tout en ne satisfaisant plus aux conditions pour lesquelles ce logement leur a été attribué.
ceci dit j'ai découvert un truc dont je n'etait pas au courant
http://droit-finances.commentcamarche.net/faq/7730-treve-hivernale-et-expulsion-dates-et-locataires-proteges
La trêve hivernale suspend également les coupures de gaz et d'électricité en cas de factures impayées.
niouze- Messages : 5054
Date d'inscription : 18/05/2009
Re: squats >>>
"affaire" du squat de rennes et l'implication des faf ...
http://www.antifabzh.lautre.net/roazhon/wp-content/uploads/dossier-maryvonne-thamin.pdf
http://www.antifabzh.lautre.net/roazhon/wp-content/uploads/dossier-maryvonne-thamin.pdf
niouze- Messages : 5054
Date d'inscription : 18/05/2009
Re: squats >>>
et pan dans le bec de maryvonne qui en plus de faire appel au nervis de l'extreme droite est simplement une bonne menteuse
le canard enchainé
le canard enchainé
niouze- Messages : 5054
Date d'inscription : 18/05/2009
Re: squats >>>
http://www.tendanceouest.com/actualite-113120-les-occupants-de-la-ferme-des-bouillons-expulses-a-mont-saint-aignan.htmlLes occupants de la Ferme des Bouillons expulsés à Mont-Saint-Aignan
Les occupants de la ferme des Bouillons sont en cours d'expulsion par la police et les CRS. L'évacuation a commencé à 6h ce mercredi 19 août au matin.
"On s'y attendait." Matthieu n'est pas surpris "si ça ne devait pas être aujourd'hui ça aurait été demain". Après le refus de la SAFER de recevoir hier les occupants des Bouillons, le militant écologique n'est pas surpris par l'évacuation qui a commencé ce matin à 6h et qui dure. Les membres de l'association de Protection du Site s'étaient barricadés. Les forces de l'ordre sont vite venus à bout de ces barricades et l'évacuation s'est faite sans violences. "Nous ne sommes pas violents, nous ne nous sommes pas débattus", résume Matthieu.
"Réel déni de démocratie"
Quelques membres de l'association sont restés sur place pour exprimer leur mécontentement. Au rythme des tambours, les slogans "Etat voleur, capitaliste", résonnaient. Dans l'immédiat, les membres ne savent pas de quoi seront faits les jours prochains : "on va délibérer longuement pour savoir ce que l'on va pouvoir faire. Ce qui est sûr, c'est que l'on va faire appel à du conseil juridique dans l'objectif de pouvoir les attaquer, et mettre en lumière l'opacité de SAFER. C'est un réel déni de démocratie", résume Matthieu.
Face à cette évacuation, un grand sentiment d'injustice domine chez les désormais ex-occupants : "On avait la légitimité, les fonds pour racheter la ferme, le projet et le soutien de certains élus".
mais ils ont preferé privilegié ............
une SCI familiale s ‘est portée immédiatement candidate au rachat.
Les responsables en sont 2 frères : Thibault et Baptiste Mégard qui ne sont pas pour nous des inconnus, car militants actifs de l’ ultra-droite rouennaise.
http://www.raslfrontrouen.com/les-rapaces-sur-les-bouillons/
niouze- Messages : 5054
Date d'inscription : 18/05/2009
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