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la police s'étonne qu'on ne l'aime pas

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Message  niouze Jeu 22 Juil - 15:31


Vielmur-sur-Agout. Un gendarme mis en examen et écroué pour viol



L'information n'avait jusque-là pas filtré. Mais la rumeur publique sur Vielmur a été plus forte. Un gendarme en poste à la brigade de Vielmur-sur-Agout a été mis en examen le 15 juin dernier pour le viol d'une aide ménagère qui gardait parfois ses enfants chez elle. L'homme est en détention provisoire depuis un mois. Les faits remonteraient à 2006 mais n'auraient été portés à la connaissance des autorités judiciaires qu'au cours des derniers mois. Le procureur de la République de Toulouse Michel Valet a précisé que le gendarme avait été mis en examen au pôle de l'instruction de Toulouse sur la base d'une information judiciaire ouverte par le procureur de la République de Castres. Le viol reproché au gendarme aurait été commis sans lien avec ses activités professionnelles. Les deux protagonistes se connaissaient.

Les faits ont été révélés par la victime, incidemment, sans dépôt de plainte formelle. En effet, elle serait allée déposer une plainte pour le vol de son sac à main dernièrement dans une autre brigade de gendarmerie que celle de son village.

Intrigué par cette démarche, l'enquêteur qui l'a reçue lui aurait demandé des explications et la femme aurait alors raconté les attouchements dont elle aurait été victime qui, pénalement, sont qualifiés de viol. Alerté, le procureur a alors ouvert une enquête. Le colonel Jacques Machut, patron du groupement de gendarmerie du Tarn, a confirmé l'enquête en cours, confiée à la section de recherche de Toulouse, tout en rappelant que « la présomption d'innocence vaut pour tous les citoyens ».

D'autant que le gendarme incriminé nie formellement les faits.
http://policiers.over-blog.com/article-vielmur-sur-agout-la-gendarmerie-un-peu-muette-juillet-2010-54186527.html lire aussi le commentaire du blogueur fort interressant (je ne le reproduit pas ici)
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Message  niouze Jeu 22 Juil - 15:39


Un policier bayonnais poursuivi pour trafic de cocaïne
12 mois ferme ont été requis hier contre le fonctionnaire, poursuivi avec son épouse et un délinquant récidiviste


Tout commence par un courrier adressé le 21 octobre 2008 au procureur de Bayonne par la femme d'un délinquant multirécidiviste. Âgé de 39 ans, ce « tonton » des policiers bayonnais - un indicateur dans le jargon - accuse un des personnels de la brigade anticriminalité (BAC) d'être impliqué dans un trafic de stupéfiants et de lui faire subir « des pressions et des menaces ».

Des accusations que ce père de famille, 17 fois condamné et actuellement incarcéré pour des vols à main armée, a réitéré à la barre du tribunal correctionnel de Dax, hier, où il était convoqué pour transport, détention et importation de stupéfiants.

À ses côtés, poursuivie des mêmes chefs d'accusation plus l'usage de cocaïne, l'épouse du policier, âgée de 39 ans, et le fonctionnaire, à qui sont reprochés les mêmes faits, avec complicité d'importation. Dans la salle, ses collègues avaient fait le déplacement en nombre pour assister à une audience longue de plus de trois heures. Depuis le début de l'affaire, ce policier, âgé de 41 ans, en poste au commissariat de Bayonne depuis 2003, a simplement changé de service. Appelé comme témoin à la barre, son ancien supérieur, chef de la BAC de jour, lui a apporté son soutien : « À mon avis, c'est un collègue injustement accusé de choses qu'il n'a pas commises. »

« Un manège »

Les deux coaccusés se connaîtraient depuis l'enfance et se seraient retrouvés au cours d'un contrôle il y a quatre ans. Le policier aurait alors demandé au délinquant, « gros consommateur de cocaïne », de le fournir en stupéfiants, en échange d'une certaine impunité pour sa propre consommation. Se met alors en place un « manège » qui durera au moins du 1er juillet 2007 au 21 octobre 2008.

Accompagné ou non de l'épouse du policier, le « tonton » va chercher de 5 à 10 grammes de cocaïne du côté d'Irun. Jusqu'à ce que les fournisseurs changent, prélèvent de la marchandise, et que le policier demande à son intermédiaire de lui rembourser les quantités manquantes : « J'avais l'impression d'être un pantin à qui on disait : "On te laisse consommer mais va chercher ça !"»

Traces de stupéfiants

Sur les conseils d'un avocat, le délinquant écrit alors au parquet pour se sortir d'« un engrenage dans lequel il s'est mis lui-même et qui l'a totalement dépassé », analyse Me Colette Capdevielle. Selon l'avocate bayonnaise, son client, analphabète, est « incapable d'échafauder ce genre d'histoire. D'autant qu'il a pris lui-même de très gros risques. Ce n'est pas anodin de dénoncer un policier ! »

À la même barre, le fonctionnaire et son épouse nient en bloc et parlent de « mensonges ». « Votre mari serait donc victime d'une cabale visant à le faire tomber ? » interroge la présidente Sabine de la Chaise. « Oui je pense », répond l'épouse, qui assure ne pas consommer de stupéfiants.

« Pourtant, des traces de cocaïne et de cannabis ont été retrouvées dans les poils de Monsieur et les cheveux de Madame, et le chien a "marqué" la présence de stupéfiants à plusieurs reprises dans la maison du couple. » Une présence liée à l'activité professionnelle de l'agent de la BAC, selon son avocat Me AntoineTugas, et à des inhalations involontaires lors de soirées en Espagne, selon les prévenus.

« Éléments à charge »

Pour le substitut du procureur Benoît Fontaine, ce sont surtout des éléments « à charge », entre les témoignages d'autres individus extérieurs au dossier, et l'analyse des « flux bancaires et téléphoniques ». Quelque 230 appels en quatre mois entre le policier, son épouse et son indicateur, par ailleurs qualifié de « trompette », (peu fiable dans le jargon).

« Il ne faut pas qu'on se trompe de procès. Nous ne sommes pas là pour juger un système qui conduit les policiers à faire feu de tout bois pour recueillir des informations, mais celui d'un homme qui a confondu l'intérêt général avec l'intérêt particulier », a souligné le substitut, avant de requérir 4 ans de prison dont 6 mois avec sursis pour le délinquant « repenti », 30 mois dont 18 avec sursis pour le policier, et deux ans avec sursis pour sa femme. Délibéré le 13 juillet.

Mise à jour le 13 juillet 2010 : le policier a été condamné, par le tribunal correctionnel de Dax, à 12 mois d'emprisonnement dont 6 mois ferme pour détention et usage de cocaïne et complicité d'importation après avoir été dénoncé par cet indicateur

http://policiers.over-blog.com/article-bayonne-trafic-de-cocaine-pour-ce-flic-de-la-bac-et-sa-femme-juil10-53526140.html
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Message  niouze Mar 27 Juil - 1:21

comme quoi vaut mieux avoir de la famille dans la police !!!surtout si on veut savoir ce que la police sait de nous Very Happy
Alès Un policier mis en examen pour « divulgation illégale de données informatiques »



Publié à 7 h - Mis à jour à 9 h 30 - Une information judiciaire a été ouverte à l’encontre d’un fonctionnaire de police du commissariat d’Alès (Gard). Ce gardien de la paix, âgé d’une trentaine d’années, a été mis en examen par un juge d’instruction pour « divulgation illégale de données nominatives issues d’un fichier informatique ».

Placé durant 24 heures en garde à vue à Nîmes, du 19 au 20 juillet dernier, ce policier alésien a été interrogé par des enquêteurs Marseillais de l’IGPN (Inspection générale de la police nationale). Il est soupçonné d’avoir consulté à titre privé le fichier national des automobiles, et donné des informations à un cousin. Celui-ci
faisait l’objet d’une écoute téléphonique dans le cadre d’une autre enquête judiciaire menée par la gendarmerie à ce jour sans suites, et la conversation entre les deux parents aurait été enregistrée.

Le policier alésien est soumis à un contrôle judiciaire, ordonné par le juge d’instruction. A l’exception de la ville d’Alès, il n’est pas interdit d’exercer sa profession. La nouvelle suscite un grand émoi au sein du commissariat gardois où le travail du gardien de la paix bénéficiait de remontées positives.
un bon flic est ....

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Message  niouze Mer 28 Juil - 13:49

ses petites choses qui nous font les aimer chaque jours un peu plus ^^
Pioché sur La Dépêche.fr



Publié le 23/07


Pipi sous un arbre, tu ne feras point. Voilà un commandement qui fait des besoins naturels une infraction passible d'une amende pouvant aller jusqu'à 450 euros ! C'est en tout cas ce qu'a constaté Stéphane P., papa de la petite Éléonore, 3 ans, qui s'est vu infliger une contravention par la police municipale de Lyon pour le pipi de sa fillette.

Selon un quotidien régional, la petite fille qui se trouvait avec son papa dans la queue d'un restaurant a eu soudain une envie pressante. Son père, voulant faire au plus vite l'a entraînée dehors. « On a traversé la grande terrasse, descendu les marches ». La fillette a fait son petit pipi sur la terre et des feuilles, près d'un arbre.

« Deux policiers municipaux à vélo sont passés. La femme m'a fait remarquer que la petite n'avait pas le droit d'uriner là et que les wc publics étaient proches. Je me suis alors excusé » raconte Stéphane P., qui, à la suite d'une opération, ne se déplace qu'en béquilles. Mais l'autre policier lâche : « je ne supporte pas ce genre d'attitude ». Le ton monte alors et la contravention tombe, pour « miction sur la voie publique ». Stéphane P. la conteste. « Alors ce sera le tribunal » aurait rétorqué le policier.

Cependant, « au vu de la tournure des événements », la municipalité de Lyon souhaite ne pas donner suite par « mesure d'apaisement ».
http://clap33.over-blog.com/article-actu-450-d-amende-pour-un-pipi-pres-d-un-arbre-54553974.html
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Message  niouze Lun 2 Aoû - 15:49

Minguettes : prison ferme pour un “caillassage” de la BAC
Par Laurent Burlet
Posté le 28/07/2010 à 16:04 | lu 712 fois | 6 réactions|


Ce mardi 27 juillet, deux jeunes de Vénissieux ont été condamnés à cinq et trois mois de prison ferme pour le "caillassage" de membres de la brigade anti-criminalité. Sur les seules déclarations des agents de police. Un procès qui en dit long sur les relations entre la BAC et les habitants des quartiers dits "sensibles".

Devant la 5e chambre correctionnelle de Lyon, s’est tenu un procès aux ingrédients d’une affligeante banalité : des jeunes des Minguettes qui fument du cannabis, un équipage de la brigade anti-criminalité (BAC) en patrouille, une interpellation qui tourne au caillassage. Et devant la barre : la parole des policiers face aux dénégations des deux prévenus considérés par le parquet comme des émeutiers en puissance.
Nous aurions pu y voir plus clair si le tribunal avait accédé à la demande de l’avocat d’un des prévenus qui souhaitait un supplément d’information. L’audience de ce mardi 27 juillet n’a donc été que la copie conforme de la comparution immédiate qui devait se dérouler trois semaines plus tôt.

La parole des policiers assermentés…

La version policière tout d’abord. Lundi 5 juillet, vers 20 heures, un équipage de la BAC patrouille aux Minguettes. Arrivés avenue des Martyrs de la Résistance, les trois membres de l’équipage avisent un jeune en train de rouler un "joint". Pour l’interpeller en flagrant délit, ils décident de faire le tour de l’immeuble. Là, Lamine (le premier prévenu), 19 ans, prévient ses collègues en criant : "attention, voilà les connards de deks" et en proférant d’autres insultes à l’endroit des policiers. Se sentant outragés, ils décident de l’interpeller. C’est le brigadier qui s’en charge non sans mal. Le jeune homme se débat, crie et lui aurait même porté un coup de tête lui laissant une belle entaille (visible sur des photos). Des habitants du quartier s’approchent de la scène. Certains jettent des projectiles. Deux équipages arrivent en renfort et dispersent à coups de grenades lacrymogènes "150 habitants", selon les comptes-rendus cités par la juge. Un nombre qui a fait beaucoup rire les habitants venus à l’audience.

Parmi les habitants présents ce soir-là, il y a Julien (le second prévenu), 22 ans, qui, toujours selon la version policière, a jeté deux pierres. Une aurait atteint un "BACman", l’autre le pare-brise du véhicule. Il se serait ensuite enfui chez lui où les policiers sont allés l’interpeller le soir même.

…Contre la parole des prévenus

Les deux jeunes nient en bloc la version policière. Lamine reconnaît seulement avoir prévenu ses collègues, qui fumaient du shit, de l’arrivée de la BAC. Pour le reste, il raconte que l’équipage de la BAC l’a d’abord insulté au moment où ils voulaient procéder à son contrôle d’identité : "tu fous rien de la journée. T’es un bon à rien" . Lamine a répondu sur le même ton. C’est là que le brigadier s’est jeté sur lui pour l’interpeller. Selon Lamine, ce n’est pas lui qui a mis le coup de boule mais le policier. Une "quinzaine" de jeunes et des parents se sont approchés pour exiger que Lamine soit relâché par le brigadier qui "l’étrangle" . C’est là que des projectiles ont été jetés.

A l’audience Julien a farouchement nié avoir jeté des pierres. "Je jouais avec ma fille de deux ans en compagnie de ma mère et de ma sœur. Quand j’ai entendu l’intervention de la police, je me suis approché" . Assez rapidement, il est remonté chez sa mère où il vit. Quelques instants plus tard, les policiers l’interpellent non sans avoir défoncé la porte d’entrée de l’immeuble.


Des maux mais pas d’éléments matériels

Au deuxième jour de sa garde à vue, Julien a reconnu être le jeune homme qui portait le t-shirt rayé qu’ont reconnu les policiers comme étant l’un de leurs agresseurs. "On m’a frappé. J’ai même perdu une dent" , avance-t-il. Son avocate, Florence Vincent s’est engouffrée dans la brèche. "S’il y avait eu un supplément d’information, le tribunal aurait pu demander une perquisition chez la mère de Julien pour retrouver ce fameux t-shirt. Il n’en a rien été".

L’avocat de Lamine, Sébastien Guérault aurait également souhaité que l’on exploite les caméras de vidéosurveillance qui avaient été installées quelques jours avant les faits (le 30 juin) avenue des Martyrs de la Résistance. "Les policiers disent qu’ils sont victimes et c’est eux-mêmes qui font l’enquête. Le tribunal a pris pour argent comptant la version policière sans accepter un seul moment que cette parole-là soit remise en cause. Dans le temps du renvoi, ce n’était pas compliqué d’ordonner des actes d’enquête supplémentaire, notamment en saisissant les bandes vidéo. En les refusant, on donne la vérité au service de police" .

Le juge suit le procureur

Sans surprise, Lamine a été condamné à cinq mois de prison ferme. Il sera maintenu en détention car il avait déjà été condamné à un mois avec sursis pour rébellion. Julien a pris trois mois de prison ferme (mais sans maintien en détention). La juge Thivolière a suivi en grande partie les réquisitions de la procureur qui demandait six mois fermes pour les deux prévenus. "Ce sont des faits inadmissibles, a martelé la procureur dans son réquisitoire. Des policiers ont été empêchés d’agir dans l’exercice de leur fonction" . L’avocat d’un des policiers partie civile, Laurent Bohé, avait au préalable dressé le contexte de ce procès : "Dans le cadre des difficultés rencontrées à Grenoble par la BAC, ce ne sont pas des faits anodins. Cette intervention aurait pu tourner au drame" .

Un jugement vécu comme une injustice par les habitants

Sans surprise également, ces deux jugements ont été vécus, entre colère et résignation, comme une énième injustice. "Lamine va rester en prison pour des choses qu’il n’a pas faites, déclare calmement Bilel, un de ses amis. Ça veut dire que simplement si je marche dans la rue, je risque d’aller en prison. Dès que je vois une voiture de la BAC, je ne me sens plus en sécurité" . “Depuis ce qui s’est passé, des équipages passent en dessous de chez moi pour nous narguer, poursuit la mère de Julien. Ils mettent le gyrophare ou nous font des doigts" .

A la sortie du tribunal, membres de la BAC de Vénissieux et habitants du quartier se sont toisés. "C’est parce que Nicolas Sarkozy ne vous a pas donné de prime que vous nous faites des procès ?" , lance aux "BACmen" le frère aîné de Julien, en référence aux 900 euros que Julien devra verser aux deux policiers partie civile. Quelques minutes après leur départ, la quinzaine de policiers venus sécuriser le palais de Justice s’est retirée, sous l’œil, cette fois amusée, des habitants.
http://www.lyoncapitale.fr/lyoncapitale/journal/univers/Actualite/Justice/Minguettes-prison-ferme-pour-un-caillassage-de-la-BAC
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Message  niouze Mar 3 Aoû - 20:03

en comptabilisant les "affaires" de notre chere police je me suis étonné voila plusieurs jours que cette vidéo tourne sur le net et je me rend compte que j'ai oublier de la poster

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Message  niouze Jeu 5 Aoû - 15:02

Un policier cherbourgeois accusé d’agression sexuelle
Faits divers mercredi 28 juillet 2010

Un policier cherbourgeois comparaîtra devant le tribunal correctionnel de Cherbourg fin août. Une touriste allemande de 20 ans a porté plainte contre lui pour agression sexuelle. Les faits se seraient déroulés dans la nuit du vendredi 9 juillet au samedi 10 juillet à Tourlaville, « dans le local à vélo du foyer de la jeune fille », raconte le procureur de Cherbourg Eric Bouillard.

Le policier, âgé de 40 ans, qui était en tenue et en service au moment des faits, a été suspendu de ses fonctions et placé sous contrôle judiciaire.
http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Un-policier-cherbourgeois-accuse-d’agression-sexuelle_6346-1459097-fils-tous_filDMA.Htm
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Message  niouze Ven 6 Aoû - 20:03

La police sur les berges du Rhône, entre répression et pédagogie
Par Audrey Chabal
Posté le 06/08/2010 à 14:40 | lu 182 fois | 0 réaction|


En patrouille sur les berges du Rhône, un soir de semaine. 37 agents de la police nationale et municipale longent les berges du Rhône pour une "opération de sécurité renforcée".

Jeudi soir, 22 heures. Trente-sept agents de la police, nationale et municipale, se regroupent au niveau de la place Maréchal Lyautey (Lyon 6ème). Durant plusieurs heures, ils vont ratiboiser la rive gauche des berges du Rhône. Une opération hebdomadaire, dont les objectifs affichés sont la sécurisation du lieu et le rappel du règlement. Mais aux yeux de certains promeneurs ou gérants de péniches, ces opérations sont au mieux synonymes de "trouble fête" , au pire de "descentes" . Le dispositif est impressionnant compte tenu de la faible fréquentation du lieu ce soir-là. Répartis en petites unités de quatre à cinq agents, les deux polices avancent de front, donnant l'effet d'une battue en plein champ. Peu connue des riverains et usagers du site, cette opération conjointe est réalisée, en été, une fois par semaine. Le reste du temps, les deux polices patrouillent chacune de leur côté. La municipale jusqu'à 22 heures, la nationale prenant le relais, et intervenant surtout en fonction des appels.

Zéro alcool sur les berges

Sur le quai haut, près des voitures de police, le commissaire donne le départ de l'opération. Les 37 policiers avancent lentement. Dès les premiers mètres, deux groupes de quatre agents s'approchent de deux cercles d'amis. "Une palpation de sécurité" est faite sur des adolescents, pour la forme et sans fracas. C'est l'été, les jeunes ont apporté de quoi passer un moment convivial, quelques canettes de bière, quelques bouteilles en verre que les agents leur demandent de jeter. "On n'est pas là pour faire de la répression", affirme un agent de la police municipale. Chaque groupe est observé, les agents discutent, expliquent les règles spécifiques aux berges. Quelques jeunes, un peu impressionnés par l'arrivée massive d'uniformes, remballent leurs affaires sans se faire prier. Un groupe d'une trentaine de personnes, plus âgées, étaient venus pique-niquer dans le cadre d'un site de rencontre. Ils prennent leur temps pour ranger les nombreuses bouteilles éparpillées sur le sol et proposent même quelques victuailles aux policiers venus les rappeler à l'ordre.

En ce soir de semaine, l'air est un peu frais sur les berges. "Rien à voir avec les soirées de canicule. Là, les marches étaient jonchées de détritus", explique une policière. Vers la Guillotière, autre ambiance. Sur les marches, la population est plus jeune et aussi plus alcoolisée. Deux adolescents se font fouiller pour consommation de produits stupéfiants. Le face à face dure de longues minutes, le ton monte un peu. Finalement, les deux jeunes verront leur "joint" détruit mais ne seront pas plus inquiétés. A quelques mètres de là, un homme titubant, débraillé et insultant la terre entière est fouillé et plaqué au sol. Il est embarqué non sans difficulté dans une voiture de police. "C'est avant tout une mesure de précaution, explique un agent. L'individu est très alcoolisé, il devient agressif et peut être dangereux pour lui et pour les passants."


Plus ou moins de patrouilles ?

Hormis ces quelques heurts, ce jeudi soir fut calme. Le dialogue entre agents et promeneurs est souvent décontracté. Mais certains témoignages dépeignent une autre ambiance. "Les policiers sont arrivés à plus de dix. J'étais attablé à la terrasse du Syrius, raconte Alexis. Avec quatre amis, on buvait un verre en entonnant, comme à notre habitude, des chants paillards allemands pour trinquer. Les agents se sont probablement sentis visés. On les a peut-être un peu taquiné mais toujours en plaisantant." La situation deviendra alors moins bon enfant. Alexis s'est retrouvé plaqué au sol et menotté. Le même sort est réservé à ses trois camarades. Le quatrième, resté sur la touche, décide dans un élan alcoolisé de rejoindre les autres. Il termine son verre et le lance à la Russe, dans le Rhône. Sébastien, barman au Syrius, explique la violence de la scène : "des témoins ont filmé l'interpellation et un avocat présent à ce moment-là a tenté d'intervenir. Les vidéos ont été effacées à la demande des agents et l'avocat écarté des lieux". Le groupe est convoqué fin septembre devant le tribunal de Vénissieux.

"Dès que la police passe, l'ambiance retombe "

Au River Boat, à quelques mètres de là, les employés partagent tous le même avis. "Nous ne voulons pas plus de patrouille, précise Patrick, un employé de l'établissement. Dès que la police passe, l'ambiance retombe. Ce qu'il faut, c'est éduquer les gens." Une mission que tente de remplir la police. L'arrêté municipal spécifique aux berges du Rhône est très précis et plutôt sévère. Pourtant, les agents font preuve de tolérance et ne verbalisent que très peu par rapport à l'affluence et au nombre d'infractions commises. Quelques fêtards cependant servent "d'exemple". "Je me suis pris une amende de 70 euros pour consommation d'alcool", confie Yohan, un jeune homme d'une vingtaine d'années fréquentant régulièrement les berges. Pour la plupart des usagers du lieu, qu'ils soient de passage ou restaurateurs, plus de répression serait néfaste à la popularité du site. Pour certains, comme le gérant de la péniche bar-restaurant La Pie, la disparition de l'entreprise privée chargée durant un temps de la sécurité est regrettable. "C'était une présence quotidienne, visible et de ce fait dissuasive. La police en revanche n'est jamais présente au bon moment". Cependant, selon le restaurateur, " Il n'y a rien d'alarmant, il faut trouver les solutions pour gérer le succès du site".
http://www.lyoncapitale.fr/lyoncapitale/journal/univers/Actualite/Societe/La-police-sur-les-berges-du-Rhone-entre-repression-et-pedagogie
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Message  niouze Lun 9 Aoû - 0:51


Yvelines : un adolescent se noie lors d'une course poursuite avec les policiers


Yves Fossey | 08.08.2010, 12h32 | Mise à jour : 19h43

Un jeune adolescent de 15 ans issu d'une cité sensible des Mureaux (Yvelines) s'est noyé dans la Seine dans la nuit de samedi à dimanche. Les faits, survenus peu après minuit à Mantes-la-Jolie, ont eu lieu lors d’une course poursuite avec les policiers.

Tout commence aux Mureaux lors d’un banal contrôle routier. Après un refus d’obtempérer, les forces de l’ordre prennent en chasse un véhicule avec trois occupants à son bord.
Les fuyards âgés de 15, 16 et 18 ans prennent la direction de la A 13 puis celle de Mantes. Mais à l’entrée de l’agglomération sur les bords de Seine, le véhicule s'engage dans un virage, dérape, arrache un arbre sur le terre-plein central avant de finir sa course dans un poteau métallique.

«Impossible de lui venir en aide»

Après l'accident, les passagers et le conducteur s’échappent alors à pied. Deux d'entre eux se jettent volontairement dans la Seine. Un premier est aussitôt récupéré. «Le troisième était caché à ras la Seine dans l'eau, raconte sur la chaîne BFM un policier témoin direct de la scène. Il a commencé à nager. Il a été emporté sur la gauche par le courant et a commencé à couler. Impossible de lui venir en aide.» Sans attendre, les plongeurs des pompiers sont intervenus mais le jeune de 15 ans n’était plus en vie.

Christian Loiseau, directeur départemental de la sécurité publique dans les Yvelines, a assuré lors d'une conférence de presse que la police n'était pas en cause dans ce drame, précisant que «les agents sur place avaient tenté de raisonner le jeune homme pour qu'il sorte de l'eau et les rejoigne», sans succès.

L'IGS saisie

Le parquet de Versailles a annoncé dimanche avoir saisi l'Inspection Générale des Services (IGS, la «police des polices»). «La police judiciaire de Versailles et l'IGS ont été saisies par le parquet afin de comprendre le déroulement des faits qui ont mené à un tel drame», a déclaré Odile Faivre, procureure adjointe de Versailles, lors de la même conférence de presse.

«Les deux autres occupants du véhicule ont été placés en garde à vue dans la nuit, ils ont été remis en liberté dans la journée, il s'agissait simplement de comprendre qui conduisait lors de la poursuite» a ajouté Odile Faivre.



leparisien.fr

bon effectivement la police n'a a priori pas l'air directement liée (du moins dans ses actes)
mais c'est étonnant quand même la trouille qu'elle donne au jeunes (et moins ) au point qu'il risque leur vie pour lui échappé , et le plus étonnant c'est que sa choque peu de monde
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Message  niouze Lun 16 Aoû - 17:28

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Message  Invité Lun 16 Aoû - 18:21

Qu'ils soient sous pression je n'en doute pas : mais ils pouvaient peut-être choisir un autre métier. Cela dit, je pense que ça leur plaît bien de faire peur. Faudrait peut-être qu'on les plaigne, en plus ?
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Message  niouze Mar 17 Aoû - 15:00

c'était plus le debut de reportage qui m'interressait (sur les methodes d'intervention policiere (ou comment on te defonce la porte pour rien (du vécu, chez un pote ils ont arracher le mur avec le belier alors que suffisait de tourner la poigné, la porte était ouverte scratch ...)que la fin sur les pauvre flic sous pression ...même si l'un va pas sans l'autre
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la police s'étonne qu'on ne l'aime pas - Page 3 Empty AURILLAC ou la preuve que la police ne sert pas

Message  niouze Lun 23 Aoû - 20:39

une note positive ce soir même si je prêche des convertis ; retour du festival d'aurillac (festival des arts de rue )
et un grand éttonement :la présence policière etait presque nul (y avait bien deux fourgons sur une place mais pour un evenement de ce genre qui se déroule dans toute la ville c'est peu)
Et pourtant moult zonard ; moult punk ; moult teufeur .....fesait parti de la foule au milieu des bobo, babs, et famille venu pour ce nourrir de culture ...et de visu vue aucune bagarre , peut etre une petite embrouille , aucune émeute même , a priori rien non plus dans les média (pourtant friand de fait divers) comme quoi ....LA POLICE NE SERT A RIEN (d'autre qu'a envenimer les choses )
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Message  ringostare Mar 24 Aoû - 5:46

ouaip, parce que jusque là, à aurillac, ils étaient plutot spécialistes des gazages pas chers.
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http://www.anartisanart.com

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Message  niouze Mar 7 Sep - 3:04

faut pas chercher la police, celui la le savait pas!
temoignage trouver sur le blog du clap 33
Salut à toi l’inconnu tabassé le jeudi 19 août 2010 à Mérignac, Gironde, quartier d’Arlac, au niveau des 61-63 rue Aristide Briand


Soirée d’été, fin de dîner, à pas plus d’un quart d’heure de 21h, crissements de pneus :

pas d’affolement, une nouvelle démonstration de virilité au démarrage du feu

BOUM ! d’un choc : merde ils ont cartonné, et depuis la fenêtre de la cuisine, une caisse sans prétention, plutôt dans le vert foncé, l’avant enfoncé, en travers de la rue A.Briand direction Arlac

En sens inverse direction Bordeaux, une voiture police nationale, intacte, d’où sort un flic décidé, tonfa ou autre en main : Affolement la police est déjà là ! fin d’une course poursuite ?

Merde pas d’appareil photos sous la main !

Direction balcon de la chambre, 4ème étage, vue imprenable sur quartier résidentiel insensible

L’autre flic attrape du matos à l’arrière de la voiture ou y enfourne quelqu’un, je ne sais pas (pour mon ami cette scène est très claire : le matos en question c’est une bombe de gaz lacrymo et il l’utilise directe en gazant dans la voiture côté conducteur)

Tension, un gars à côté de la caisse emboutie, tendu de désespoir pour sa cause, pas trop décidé à se rendre…(probablement gazé, shoote dans un enjoliveur), pas d’arrestation immédiate

L’encerclement commence, une voiture de police est arrivée en renfort, police nationale, on est qu’à 3mn du commissariat central à vol de véhicule prioritaire

Un break de la BAC déboule et de 6 contre 1, ça devrait aller pour une arrestation réglementaire (mon ami doute, BAC maintenant ou plus tard…)

Le voisinage assiste, quelques personnes sur le trottoir à une quarantaine de mètres, quelques autres aux balcons et fenêtres, c’est les vacances

Le mec se décide à se rendre, lève les bras et se dirige vers la première voiture de police sous la pression d’un cercle d’uniformes qui se resserre mais il est encore libre de se déplacer

Quasi arrivé à la voiture, sur le point d’être saisi, il se baisse ramasser un gros truc (un enjoliveur m’affirmera mon ami) et se met à frotter le pare brise de la voiture de flics (à taper dessus insistera mon ami)

Derniers bruits en guise de cris: il vient de sonner la charge de la meute

Perte de sang froid face à un mec au sang chaud, mon sang ne fait qu’un tour mais bon sens ARRETEZ j’hurle dans ma tête, angoissée d’impuissance

Ça va vite très vite, ça frappe fort très fort, il est déjà à terre en train de se taire sous les coups près de sa voiture

Mais très vite plus de scène en direct, elle se déplace dans le jardin d’une maison derrière des arbres à l’abri de mon regard

« Laissez-le » gueule entre autres un voisin à plusieurs reprises pour prendre sa défense

« Lâchez le ! lâchez le ! » je reprends en écho

Mais que fait la police ? mais que faire ? descendre ? noter…noter les détails pour témoigner

21H10 : 2 véhicules de police,1 voiture de la BAC, leurs occupants tiennent méchamment compagnie à un homme seul : je flippe pour lui, je crains le pire, ça dure, j’ai envie de descendre mais le temps d’y être…

Le ciel s’assombrit, le voisinage assiste mais n’assiste pas

Un flic chemise claire sort rapidement, crache sur le trottoir, plié en 2 tentant de reprendre sa respiration…un long chemin pour reprendre son souffle, pas assez d’air dans le jardin ou besoin de mise en scène pour d’éventuels braves gens témoins… ?

Et toi l’inconnu as-tu réussi à respirer plus fort que le poumon de tes bourreaux ?

Merde comment vas-tu l’inconnu ?

5 flics tenues bleues marines foncées, 2 chemises claires,

pourquoi j’ai noté ça, police partout

21H21 : arrivée du camion rouge du 18, ses lumières éblouissantes clignotent dans la nuit qui tombe mais sans sirène, justice nulle part

21H30 : ouf ! te voilà debout, menotté, encadré qui entre dans le camion de secours, t’es vivant. Bienvenu l’inconnu

Portes entre-ouvertes du 18, tu t’écroules à côté du lit brancard

Un fourgon de police arrive masquant la scène, encore du renfort mais aucun réconfort

5 flics, 2 à 3 ambulanciers échangent autour du 18

21H34 : plus rien à gratter la BAC repart

Les témoins s’essoufflent et rentrent peu à peu, il fait presque noir.

T’es toujours dans l’ambulance plus exactement dans le camion de secours du 18, rouge aux bandes jaunes fluo

8 commères et leur compère refont la scène à 30,40 mètres

21H40 : des flics retournent dans le jardin

21H42 : je t’ai pas vu descendre l’inconnu, tu repars avec les secours, le fourgon de police suit.

Je suis vénère, escalade gratuite de violence, t’es peut-être coupable mais sûrement pas d’être devenu victime.

Rapport de force déséquilibré et pas de paix pour autant

Je respire quand même, t’es à l’abri des coups pour un moment

Restent 2 voitures et l’épave, tous feux éteints, pas de triangle ni de lumière pour signaliser l’encombrement de la chaussée, une moto a failli se faire surprendre

21H57 : ramassage de débris sur la route, une voiture de police part, celle partie prenante dès le début. Plusieurs voitures se croisent, et toujours pas de signalisation, la nuit est pourtant vraiment tombée

21H51 : l’heure de la dépanneuse pour embarquer la voiture emboutie

21H57 : la dépanneuse se met enfin en place après palabres, charge de la voiture, uniquement sous les feux des lampadaires. Quelques minutes plus tard, plus rien. FIN


Mon témoignage avec quelques doutes

Nos certitudes : surréaction, sureffectif et surenchère de violences


Vous avez provoqué la police ? Vous repartirez avec les pompiers



Pourquoi n’avez vous pas réussi à vous élever au dessus des provocations d’un seul homme ne présentant aucun danger ?

Pourquoi n’avez-vous pas trouvé en vous les forces de l’ordre ?

Pourquoi avez-vous céder aux sirènes de cette haine ordinaire qui nous détruit tous ?


Les gardiens de la paix ne sont-ils que les garants de nos peurs ?

Et à qui profitent nos peurs ?


PAS DE JUSTICE PAS DE PAIX

Salut à toi l’Inconnu, victime d’abus policiers



Nb : Si ce témoignage peut être utile à te rendre justice, même si tu t’avères le dernier des crétins, il sera le tiens. Contacte le CLAP : collectif.clap33@gmail.com
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la police s'étonne qu'on ne l'aime pas - Page 3 Empty mickael youn tate de la police

Message  niouze Mer 8 Sep - 18:43

ou quand la police se comporte pareil avec un citoyen "celebre" qu'avec n'importe qui
j'ai vu cette info hier soir , dans un premier temps même si des doute me taraude je prefere ne pas en tenir compte : il est célébre du coup sa m'interresse moins (je lui prefere les inconnu dont on parle pas ou peu )
puis quand même l'info revient il donne son point de vue du coup même si c'est une star sa reste a mes yeux une nouvelle bavure de nos force de l'ordre (bien que je le plaint moins que tout ceux a qui sa arrive (moi comprit ) )
Michaël Youn en garde à vue après une altercation avec la police

Créé le 06.09.10 à 21h22 -- Mis à jour le 07.09.10 à 10h50

FAITS DIVERS - Après un banal contrôle...

Incontrôlable. Lundi soir, le comédien Michaël Youn a été placé en garde à vue au commissariat du 18ème arrondissement de Paris, après une altercation avec des policiers, a-t-on appris de source policière, confirmant une information du site Internet de France Soir.
Il aurait claqué la portière sur le bras d'un agent

Le comédien a été interpellé vers 19 heures sur son scooter alors qu'il remontait un sens interdit. Affirmant avoir oublié ses papiers dans sa voiture où ils sont restés introuvables, Michaël Youn a eu une violente altercation avec les fonctionnaires, qui l'ont conduit au commissariat pour une audition.

D'après le site de France Soir, l'humoriste aurait claqué la portière sur le bras de l'agent en train de le tirer en dehors de l'habitacle. [ndm : c'est le passage qui m'avait fait tiquer... ] Entendu pour «outrage et rebellion», il pourrait être remis en liberté dans la soirée.


seulement d'apres le principal intéressé sa aurait été bien plus violent que sa (5j d'ITT par ailleurs )
Michaël Youn a annoncé qu'il portait plainte pour "coups et blessures" après une altercation avec des policiers qui l'a conduit à passer le lundi soir dans un commissariat de Paris. Les agents l'accusent d'"outrage et rébellion" mais selon nos sources, le comédien n'aurait pas été placé en garde à vue. Ce dernier réfute l'accusation des policiers : "Le flic était plus proche d'un milicien que d'un policier", s'est-il insurgé au micro d'Europe 1. "J'ai été traité comme Mesrine" ajoute-t-il.


Le comédien a été interpellé lundi, vers 19h, sur son scooter alors qu'il remontait un sens interdit, affirmant avoir oublié ses papiers dans sa voiture où ils sont restés introuvables. Michaël Youn a ensuite eu une violente altercation avec les fonctionnaires, qui l'ont conduit au commissariat du 18e arrondissement de Paris pour une audition.



"Il m'a étranglé la glotte avec sa main droite"

Le comédien affirme avoir été entendu pour "outrage et rébellion" face à un agent de police qui l'accuse de violences à son égard. Mais Michaël Youn contredit cette version: "Je n'ai absolument pas violenté un policier", s'est-il défendu au micro d'Europe 1, avant d'ajouter "Je me suis retrouvé la face contre la grille de l'immeuble, des menottes dans le dos, un genou sur la colonne vertébrale avant qu'on me cogne la tête sur le capot de la voiture, en me faisant entrer dedans. Il a pris ma tête, il l'a frappée contre la porte d'un ascenseur en m'étranglant la glotte avec sa main droite".

D'après Voici.fr, le syndicat Alliance, s'est exprimé à son tour dans un communiqué intitulé "Quand les comiques ne font plus rire" publié dans la matinée. Il demande à ce que Michaël Youn ne bénéficie pas de passe-droit et qu'il soit poursuivi pour outrage comme n'importe quel citoyen.

il en dit encore plus sur son fb (apres peut etre en rajoute t'il mais cela me semble tout a fait plausible)
Même si je n'ai pas été placé en GAV lundi soir, je suis quand même resté au commissariat du XVIIIème de 19h à 2h du matin… pour outrages et rébellion dans les faits… et dans la pratique, pour avoir eu le malheur de déplacer mon scooter (de 5m) afin de libérer une place de parking pour une voiture et ce sans casque (hic)…
Après m'être quand même fait, au préalable, étranglé 3 fois et balancé contre une grille de jardin et contre une portière de voiture, après m'être mangé une claque sur l'oreille, après avoir vu ma tête cognée plusieurs fois contre la paroi d'un ascenseur,après m'être fait humilié dans la rue, menotté et exhibé comme un trophée devant les minots de la Goutte d'or, et après avoir du encaisser des "T'es un rigolo toi ?! Et là (il m'étrangle d'une main et pose l'autre sur son arme de service), tu rigoles moins hein ? !" ou encore des "Hè le mariole, tu fais moins ton spect...acle là !!!".
Alors évidemment je ne suis pas tout blanc : bien sûr, j'étais en infraction… bien sûr, je me suis énervé et rebellé… bien sûr, j'ai essayé d'expliquer la stupidité de cette situation par tous les moyens possibles, y compris les mauvais… bien sûr, j'ai fini par être outrageux… Mais comment aurais-je pu faire autrement ...devant l'abus de pouvoir dont j'étais victime.
Le brigadier-chef avait envie de rouler des mécaniques devant le voisinage, devant ma femme et son fils… de montrer à ses subalternes "qui c'était le patron" et "comment qu'on fait une interpellation manu-militari"… ou alors tout simplement, il s'ennuyait, "tiens aujourd'hui, j'me ferais bien une vedette… ça me change...ra des dealers de crack de Stalingrad". Sauf qu'il a juste oublié de changer sa méthode.
Je crois qu'en fait, le brigadier-chef a du me confondre avec un criminel, il a du me prendre pour Mesrine. Il a aussi du confondre Montmartre avec le Texas, et surtout la police avec la Milice (celle de 42).Bref, j'ai porté plainte à l'IGS (l'Inspection Générale des Services, la police des polices) pour violences illé...gitimes ayant entraînées une ITT (parce que je suis allé consulter évidemment).
Je pense avoir été victime d'un délit de faciès en fait… il aimait pas ce que je faisais, et il me l'a bien fait comprendre : "Tant mieux !
Pour une fois que ça arrive à une vedette et pas à un gamin des quartiers" me direz-vous... Ouais, tant mieux, comme ça je peux en parler et vous assurer que ça arrive vraiment à tout le monde. Et qu'il ne faut pas hésiter à prendre un avocat (y'en a des pas chers) et à vous plaindre à l'IGS… Ils sont aussi là pour ça,... pour nous défendre et pour construire une police nationale irréprochable.
Pour terminer, je dirai que j'ai toujours eu jusqu'à présent de très bons rapports avec la police malgré les centaines de conneries que j'ai pu leur faire subir devant les caméras, ils ont toujours réagi avec beaucoup d'humour. Et je n'ai pas envie que ça change. Je n'ai pas envie d'avoir peur de la police. Je n'ai pas... envie de changer de trottoir quand je vois une patrouille, par crainte de me faire casser la gueule

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Message  niouze Lun 13 Sep - 23:36

Beauvais : Un jeune renverse deux policiers municipaux


Des policiers municipaux de Beauvais ont été légèrement blessés samedi soir. «C’est l’uniforme qui était visé», estime le maire. «Les policiers ont joué aux cow-boys», rétorquent les habitants.


C’est un simple jeu de ballon qui a dérapé, samedi soir, dans le quartier des Fleurs à Beauvais. Vers 21 heures, une patrouille de la police municipale se rend rue des Iris, à la suite de plaintes de résidants du quartier. Arrivés sur les lieux, où plusieurs personnes discutent et jouent au ballon, les policiers veulent procéder à un contrôle d’identité.


Le ton monte, les insultes pleuvent et des coups partent. Un des jeunes monte dans sa voiture, une Mercedes, démarre et fonce sur les agents.


L’un, blessé à la tête et à la cheville, souffre de vertiges. L’autre, heurté par le rétroviseur de la voiture, est plus légèrement touché. Tous deux seront emmenés aux urgences. Christopher, le jeune de 21 ans qui les a renversés, se rendra de lui-même aux forces de l’ordre, quelques instants plus tard. Inconnu des services de police, il a été placé en garde à vue, déclarant avoir été pris d’un coup de folie.



«Le jeune a délibérément foncé sur l’agent, a souligné Caroline Cayeux, maire de Beauvais, lors d’une conférence de presse convoquée en urgence hier matin. Pour moi, c’est l’uniforme qui a été clairement visé et par là même, la République. Je ne peux laisser passer ces faits d’une extrême gravité.» La municipalité s’est donc constituée partie civile. Le jeune pourrait être jugé prochainement en comparution immédiate devant le tribunal de Beauvais.

Dans la rue des Iris, des débris de verre rappellent l’altercation. Au pied des immeubles, les habitants racontent volontiers leur version des faits, qui est plus nuancée que celle de la mairie. «Les policiers sont sortis comme des cow-boys, raconte Akim Habbeddine, le père de Christopher. Étonné par leur virulence, mon neveu de 16 ans les a mal regardés. Ils n’ont pas apprécié et l’ont collé contre la vitre de leur voiture. J’ai voulu intervenir pour me mettre entre les deux et ils m’ont plaqué au sol. Mon fils s’est pris un coup de matraque et c’est là qu’il a pété un câble. Il est monté dans sa voiture et a démarré. Mais il ne faut pas tout mélanger. Il y a aussi eu un problème de comportement des policiers. J’ai éduqué mon fils et ce n’est pas un délinquant.»



Dans le voisinage, le son de cloche est le même. «Le gamin a eu tort à 100%, mais les policiers aussi, déclare une habitante très remontée. Ici, ce n’est pas la jungle.» À la préfecture de l’Oise, on veut voir dans cet incident un acte isolé. «Il ne faut pas raccrocher ce qui s’est passé à des violences urbaines», prévient le directeur de cabinet du préfet de l’Oise.



Leur presse (Pauline Conradsson, Le Parisien), 13 septembre.

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Message  niouze Ven 17 Sep - 10:49

"rouler bourré" dit une chanson (pustule l'ardechois je croit) oui mais a condition d'etre flic
Collision avec un véhicule de police : le policier avait bu
Faits divers samedi 11 septembre 2010

*
La voiture de police sortait de la rue à droite, lorsqu'elle a percuté le motard, qui circulait sur l'axe principal. Au sol, sur les lieux de l'accident, les marques de peinture posées par les enquêteurs témoignent des circonstances du drame.

Ouest-France

Un motard de 38 ans s’est tué, hier soir à Ploufragan (Côtes-d’Armor) dans une collision avec une voiture de police. Le procureur de la République, Gérard Zaug, vient de révéler que le fonctionnaire qui conduisait présentait une alcoolémie de 0,56 g « une heure après ». Le policier a été remis en liberté à l’issue de sa garde à vue.

Le parquet va demander, demain, l’ouverture d’une information judiciaire « contre X pour homicide involontaire» afin de déterminer les responsabilités dans ce drame. Le procureur, de Saint-Brieuc, a précise que "le fait que le policier ait eu une légère alcoolémie n'implique pas qu'il soit responsable de l'accident".

Selon Gérard Zaug, alors qu'une voiture de police effectuait un demi-tour pour revenir au commissariat, un motard qui arrivait a chuté puis glissé jusqu'à heurter de la tête le pare-choc avant droit de la voiture. «La moto est partie toute seule d'un côté, et le pilote a heurté le véhicule de police dont le gyrophare était allumé», a poursuivi Gérard Zaug.

Le motard était âgé de 38 ans. Selon Gérard Zaug, il pilotait une moto de 1.000 cm3 sans avoir le permis correspondant et il n'était pas assuré.

L'accident s'est produit dans une zone limitée à 30 km/h, et "il faudra vérifier" si le motard "n'était pas une vitesse excessive", a-t-il dit.

Le procureur n'a pas précisé quand le policier d'une trentaine d'années, qui avait pris son service à 16h00, avait absorbé l'alcool retrouvé dans son sang.

Un juge d'instruction sera désigné pour conduire l'enquête.



http://policiers.over-blog.com/article-saint-brieuc-un-mort-et-un-flic-avec-0-56-grammes-sept2010-56995486.html
quand t'es flic on te fait l'alcotest une heure apres c'est bien non , puis de toute maniere il est sur que la faute sera reporter sur la moto qui a coup sur c'est jeter sur la voiture de police juste pour les emmerder
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Message  Lib Ven 17 Sep - 11:24

http://policiers.over-blog.com/article-saint-brieuc-un-mort-et-un-flic-avec-0-56-grammes-sept2010-56995486.html
quand t'es flic on te fait l'alcotest une heure apres c'est bien non , puis de toute maniere il est sur que la faute sera reporter sur la moto qui a coup sur c'est jeter sur la voiture de police juste pour les emmerder

Extrait de l'article du Télégramme.

Information judiciaire contre X

Le parquet de Saint-Brieuc a souligné que la victime ne disposait pas du permis nécessaire pour piloter un engin affichant 1.000 cm3. L'accident s'est produit dans une zone où la circulation est limitée à 30 km/h.

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/bretagne/ploufragan-22-un-policier-alcoolise-place-en-garde-a-vue-apres-un-accident-mortel-10-09-2010-1045679.php
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Message  niouze Ven 17 Sep - 11:53

c'est bien ce que je disait ...la faute a la moto (si sa avait été le contraire sa aurait été la faute au conducteur bourré)
sinon pendant ce temps la
Les policiers avaient menti

Par Europe1.fr (avec AFP)

Publié le 16 septembre 2010 à 17h03 Mis à jour le 16 septembre 2010 à 17h55


Sept policiers de Seine-Saint-Denis ont monté un scénario afin d'expliquer une course poursuite.

A la suite d’une course poursuite qui a mal tourné, sept policiers de Seine-Saint-Denis s’étaient mis d’accord pour monter un scénario destiné à les dédouaner. Mais les fonctionnaires ont été démasqués.


Les policiers ont écopé d'une interdiction d'exercer et sont convoqués au tribunal de Bobigny le 4 novembre pour "dénonciation calomnieuse", et "faux en écriture publique" pour avoir rédigé ou signé de faux procès verbaux. Trois d'entre eux sont en outre mis en examen pour "violence volontaire ayant entraîné une incapacité de travail n'excédant pas huit jours par personne dépositaire de l'autorité publique", a-t-on appris de source judiciaire.
L’IGS sévit

Dans la nuit du 9 au 10 septembre, à Aulnay-sous-Bois, un automobiliste avait refusé d'obtempérer lors d'un contrôle routier qui avait mal tourné: un gardien de la paix avait alors été blessé, puis hospitalisé à Bondy, avaient annoncé les autorités. L’automobiliste incriminé, prénommé Hocine, avait été arrêté et placé en garde à vue pour refus d'obtempérer et surtout pour avoir percuté le policier en voiture.

Mais au fil des heures, la hiérarchie policière s'était rendu compte qu'Hocine n'était pas responsable et que les policiers avaient menti. Il semble que le policier blessé l’ait été après un choc avec… une autre voiture de policier.


Mercredi, les sept policiers, parmi lesquels le blessé, ont été placés en garde à vue par l'Inspection générale des services (IGS, la "police des polices"), déférés au parquet de Bobigny puis placés sous contrôle judiciaire par le juge des libertés et de la détention.

europe1

ainsi qu'un autre trouver sur le blog de tabouret http://policiers.over-blog.com/article-dunkerque-mensonge-et-faux-p-v-sept-2010-57039433-comments.html#anchorComment
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Message  niouze Mar 21 Sep - 16:17

Samedi soir, il a tiré sur un homme qui avait brandi un couteau dans sa direction. Il a reçu le soutien de sa hiérarchie. Le policier de la Bac qui a grièvement blessé un homme, samedi soir, en faisant usage de son arme, a reçu le soutien public de sa hiérarchie, hier. « Il n’y a pas de problème de confiance de ma part. Je l’autoriserai à reprendre ses fonctions s’il le souhaite », a notamment indiqué Marcel Authier, le patron des policiers de l’Hérault lors d’une conférence de presse. Selon lui, il ne fait aucun doute que le fonctionnaire, considéré comme « un très bon professionnel » a agi en état de légitime défense alors que la victime du tir se trouvait à « 1,50 m » de lui, brandissant un couteau.

Une analyse des faits partagée par le procureur
de la République, Brice Robin, selon lequel, le policier « était en droit de sortir son arme » sentant « son intégrité physique en danger. Le gars a certainement levé le couteau pour faire fuir le policier. Il a pris ses risques en pointant une arme ». Un seul coup de feu a été tiré à hauteur du bas-ventre de la victime qui était toujours hospitalisée hier (lire ci-dessous).


Selon la reconstitution effectuée dès dimanche après-midi dans la rue de Bugarel, l’individu porteur de l’arme blanche s’était d’abord réfugié dans un local à poubelles à l’intérieur duquel une bagarre aurait éclaté avec un premier policier. Celui-ci aurait été mis à terre mais sans prendre de coup de couteau. L’agresseur est ensuite sorti du local, la lame dans une main et s’est retrouvé face au second policier qui a fait feu. « Le témoin qui nous a prévenus a tout vu et affirme avec certitude que c’est ce qui s’est passé », ajoute Brice Robin qui a saisi l’antenne marseillaise de l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) du dossier.

Parallèlement, une information judiciaire a été ouverte « pour faire le point définitivement sur cette affaire », a précisé le magistrat. Cette décision, qui a conduit à la mise en examen du policier pour violence avec arme, n’a pas vraiment été très appréciée par les syndicats. « Le collègue a été maintenu en garde à vue pendant 24 heures puis déféré sans pouvoir rentrer. On aurait pu attendre un peu », déploraient deux responsables du syndicat Alliance.

Miné par la rupture avec sa femme
Selon les premiers éléments de l’enquête, l’agresseur des policiers présente le profil d’un homme bouleversé par la rupture avec sa femme, qui est finalement passé à l’acte, samedi soir. A l’aide d’un couteau muni d’une lame de 20 cm, il a d’abord crevé les pneus de la voiture de son épouse, avec laquelle il était en instance de divorce, avant de s’en prendre à un passant qui venait de l’apostropher et qui a, lui aussi, été blessé avant de donner l’alerte. Ancien hockeyeur de « bon niveau », selon le parquet, l’homme, âgé de 35 ans et domicilié à Carnon, n’avait pourtant pas d’antécédents judiciaires pour des faits de violence. La seule trace administrative retrouvée par les policiers fait état, en novembre 2009, d’une hospitalisation psychiatrique provisoire à la demande d’un tiers laissant imaginer qu’il souffrait de certains troubles du comportement.

Très sérieusement blessé et toujours hospitalisé à Lapeyronie, il devrait être entendu par les enquêteurs « d’ici deux à trois jours » et donner sa version des faits. Selon sa femme, qui l’avait vu un peu plus tôt, il avait passé une partie de la journée de samedi à s’enivrer et à fumer du cannabis. Des analyses toxicologiques sont en cours.
le midi libre

reprenons les fait , je ne nie pas que cette homme est attaquer les flics ; seulement tout me chiffone dans cette affaire :
d'abors l'état de legitime défense : celle si n'est donc plus mise seulement quand quelqu'un attaque avec une arme directement la police , il suffit a présent d'avoir une arme (ou tout objet consideré comme tel ) dans les mains pour que nos braves force du désordre soit en etat de légitime défense ..... argh
ensuite on nous parle a longueur de temps d'arme non létal (même si elle ne le sont pas toujours mais ceci est un autre débat ) pourquoi ne pas l'avoir utiliser; et tant bien même qu'ils en avait pas , les policier ne sont ils pas former au self defense , qu'on ne vienne pas me dire qu'un hommes , qui plus est ivre et défoncer ,tout ancien hockeyeur qu'il est, n'est pas maitrisable dans ses conditions d'autant que ce n'est pas une arme a feu qu'il avait mais bien un couteau
d'ailleurs a ce sujet on dit qu'il etait a 1m50 du policier j'ai beau essayer même en me projetant a l'avant (ce que n'importe qui ayant fait du self defense peut largement parrer ) j'ai du mal a voir la dangerositer du geste (mon bras ne fesant que 80cm de long il me faut encore avancé du double pour atteindre le policier )
mais bon il faut croire que ce soit pour les armes non létal ou bien les technique de self défense (comme une clé de bras par exemple ou encore l'ettoufement) ne sont utiliser que si l'homme est désarmer , je dirait même plus que si la personne ne fait qu'aggresser que verbalement la police .....c'est si bon d'etre des trouillard

enfin bref encore un pauvre gars shooter par la police qui quand a elle s'en tire limite avec les honneurs
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Message  niouze Mar 21 Sep - 16:25

trouver sur le blog de tabouret

Un policier poursuivi pour corruption

Un policier d'Aix-en-Provence a été mis en examen pour "corruption passive, extorsion de fonds et trafic d'influence" jeudi à Marseille. Ce gardien de la paix, âgé de 38 ans, a été laissé en liberté sous contrôle judiciaire avec interdiction d'exercer sa profession. Il est soupçonné d'avoir proposé ses services, pour quelques centaines d'euros, à un employé d'un garage marseillais pour intervenir dans une affaire d'atteinte aux biens. La victime a contacté les policiers de l'Inspection générale de la police nationale qui lui ont remis des billets numérotés pour payer le gardien de la paix. Ces billets ont ensuite été retrouvés lors d'une perquisition au domicile du policier.
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Message  spike Ven 24 Sep - 0:35



Deux policiers renvoyés en correctionnelle pour la mort de Hakim Ajimi à Grasse

JUSTICE. La cour d'appel d'Aix-en-Provence a renvoyé jeudi devant le tribunal correctionnel les deux policiers de Grasse (Alpes-Maritimes) accusés d’avoir causé la mort d'un jeune Tunisien de 22 ans, lors de son interpellation le 9 mai 2008. Les deux policiers avaient obtenu un non-lieu en mai dernier, mais le Parquet de Grasse avait fait appel. Ils retrouveront en correctionnelle cinq autres policiers renvoyés pour non assistance à personne en danger. Lire la suite

Les deux policiers renvoyés hier en correctionnelle sont accusés d'avoir provoqué la mort par asphyxie de Hakim Ajimi, notamment en réalisant une clé d’étranglement prolongée lors de son interpellation, alors qu’il était déjà immobilisé.
Les deux policiers étaient mis en examen pour homicide involontaire, un délit constitué si on a causé la mort d’autrui «par maladresse, imprudence, inattention, négligence ou manquement à une obligation de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le règlement».

Pour les deux juges d’instruction chargées du dossier à Grasse, rien ne pouvait leur être reproché. «Les deux policiers n’ont fait qu’appliquer ce qu’on leur enseigne, expliquait en mai un de leurs avocats, Me Gérard Baudoux. Les éléments constitutifs de l’homicide involontaire ne sont pas constitués. S'il y a quelque chose à revoir, ce sont les méthodes enseignées à la police nationale.»

Le procureur de la République de Grasse, Jean-Michel Cailliau, avait fait appel du non-lieu. Pour le parquet, qui avait requis le renvoi en correctionnelle, un procès doit se tenir. Il aura donc bien lieu.

Le 12 avril, la Commission nationale de déontologie de la sécurité (CNDS) avait rendu un avis très sévère sur les deux policiers, suggérant des poursuites disciplinaires, en raison d’«un usage de la force devenu sans justification».

Pour la CNDS, les techniques d’immobilisation «ne s’imposaient plus après que [Hakim] a été menotté». Car il «ne pouvait alors plus s’échapper, ni être dangereux».

LES FAITS

Le 9 mai 2008, le jeune Tunisien est interpellé par deux fonctionnaires de la BAC (brigade anticriminalité) de Grasse, alors qu’il vient de quitter avec fracas l’agence du Crédit agricole. «Agression sur le directeur», a-t-on annoncé aux policiers en les alertant. Boulevard Victor-Hugo, ils le repèrent.

Quand les policiers veulent l’attraper, Hakim se débat très violemment.

Le trio tombe au sol, et le brigadier-chef X., 41 ans, se blesse (luxation à l’épaule). Son collègue Y., 36 ans, indiquera aux enquêteurs : «Nous avons dû utiliser une grande force pour le maîtriser, car il était très excité.»

Hakim est finalement menotté, aux mains et aux pieds, et placé face contre terre, donc immobilisé. A ce moment, il n’y a plus lieu de s’inquiéter. Mais X. s’appuie à califourchon sur son dos, et Y. lui fait une clé au cou : «C’était effectivement une clé genre étranglement, mais je précise que je n’ai pas serré à fond.» Il la prolonge «cinq à dix minutes, avec une intensité plus ou moins forte, selon l’agitation d’Ajimi». Voire plus longtemps, selon des témoins de la scène, qui protestent : «C’est inadmissible, ce n’est pas un animal, c’est bon, il est attrapé !»

Un des protestataires est embarqué. Hakim suffoque.

Selon un policier municipal, il a «la tête violette». Un lycéen parle d’un «visage bleu» et pense qu’«il ne devait pas respirer». Puis Hakim est traîné jusqu’à la voiture de police. Il est «inerte», selon les témoins, «les bras et les jambes ballants, ses pieds traînaient par terre». Il a «l’air tout mou comme une guimauve».

«Jeté sur la banquette arrière, selon une policière, immédiatement il a roulé sur le plancher», entre les sièges. C’est là qu’il effectue le court trajet vers le commissariat, un policier les pieds sur lui. Hakim émet «des gaz qui sentaient mauvais», raconte une jeune policière : «J’ai un peu plaisanté en disant que ça allait bien pour lui, car il avait des gaz.»

Elle regrettera : «Je n’ai pas l’habitude de la mort et ne savais pas que ces gaz pouvaient être un signe de relâchement.»

A l’arrivée, un policier s’exclame : «Il est bleu !» Pompiers, massage cardiaque, bouche-à-bouche, rien n’y fait. Hakim est mort, selon l’expertise anatomopathologique, en raison d’«un mécanisme de compression thoracique associé sans doute à une obstruction incomplète des voies aériennes supérieures (face au sol)» : la clé de Y., plus les appuis sur son dos de X.?

Cette technique d’immobilisation est interdite dans plusieurs pays (Suisse, Belgique), en raison des risques d’asphyxie.

Elle a valu à la France une condamnation par la Cour européenne des droits de l’homme en 2007, dans une autre affaire.

Entendus comme témoins assistés, les deux policiers se défendent.

Y. n’a utilisé «aucune force démesurée». X. assure : «Nous n’avons fait que des gestes réglementaires qui, pour nous, ne pouvaient être la cause de son malaise.»

La chambre d’instruction de la cour d’appel a donc décidé ce jeudi de les renvoyer devant le tribunal correctionnel.

Ils y retrouveront cinq autres policiers (quatre de la police nationale, un de la municipale) renvoyés pour non-assistance à personne en danger.

M.H.
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Message  ivo Lun 11 Oct - 19:53

Un policier poursuivi pour extorsion d’aveux
France Info - 18:00

Treize ans après sa mise en examen, un homme accusé de viol porte plainte et accuse le policier qui l’avait interrogé de lui avoir extorqué ses aveux...

Accusé de viol par sa belle-soeur, Patrick Leveneur avait reconnu les faits durant sa garde-à-vue en 1997 à Marseille, juste avant de se rétracter, disant avoir été soumis à une pression.
Après quatre mois de détention provisoire, Le chauffeur de bus a finalement été innocenté définitivement au début de l’année 1999 et il attaque aujourd’hui en justice le fonctionnaire de police qui a procédé à son interrogatoire il y a treize ans et qu’il accuse de lui avoir extorqué ses aveux.

Alors, que pensent les policiers de cette affaire ? Le SNOP, le Syndicat National des Officiers de Police, considère qu’il y a pu y avoir "des dysfonctionnements" dans ce dossier.
Pour autant, selon Michel-Antoine Thiers, membre du bureau national du SNOP, ce n’est pas une raison pour poursuivre à titre personnel le policier.
Ce type de situation est, en effet, très délicate.
ivo
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Message  niouze Jeu 14 Oct - 13:56

Un lycéen blessé par un tir de flashball à Montreuil
Par Blandine Grosjean | Rue89 | 14/10/2010 | 13H00

Un lycéen de 16 ans est blessé à la joue par un tir de flashball d'un policier. Les incidents se sont déroulés près du lycée Jean-Jaurès à Montreuil (93). L'adolescent a été évacué à l'hôpital André-Grégoire de Montreuil.

A 12h30, Dominique Voynet, maire de Montreuil, a diffusé un communiqué de presse condamnant les violences policières contre les lycéens :

« Ce matin, et comme hier à Meaux, il apparaît que le même usage immodéré de la force ait été utilisé contre des lycéens manifestant contre la réforme des retraites.

[Dominique Voynet] condamne avec une extrême fermeté cette provocation dont on peut penser qu'elle vise à provoquer des incidents et à transformer le nécessaire débat démocratique en spirales de violences et d'affrontements. »

Zineb Dryef, journaliste de Rue89 sur place, a interrogé plusieurs lycéens et un professeur, qui affirment que les tirs de flashball ont eu lieu à l'extérieur du lycée.

Véronique Bourdais, adjointe à la sécurité de la ville, évoque sept tirs de flashball en début de matinée. Un chiffre non confirmé par les autorités.

10h56, nous recevions ce premier e-mail d'un riverain :

« Ma fille lycéenne à Jean-Jaurès à Montreuil m'informe que la police et les CRS sont intervenus ce matin à l'intérieur du lycée et ont tiré au flashball sur les élèves, et aussi lâché les chiens. Situation de terreur sur des enfants. Manifestation prévue cette après-midi.

La mairie est informée. »

A 11h30, deuxième message :

« Le lycée Jean-Jaurès à Montreuil a été bloqué par les élèves, en lutte pour les retraites, avec un renfort du collège Condorcet. Les policiers ont pénétré dans l'établissement en force avec matraque et flashball pour disperser les manifestants. Ils ont tiré au flashball au sein de l'établissement et blessé plusieurs élèves, dont un a été hospitalisé et d'autres mis en garde à vue.

Il y a une volonté politique de briser l'énergie et l'envie de manifester des jeunes en utilisant la violence au sein des établissements scolaires. Ils ne font qu'engendrer de la haine des jeunes vis-à-vis de la police et du pouvoir. »

Des « élements incontrôlables »

« A partir du moment où des lycéens bloquent des établissements, nous ne pouvons plus répondre de leur sécurité, car certains blocages risquent de dégénérer en début d'émeutes urbaines », a déclaré à l'AFP l'inspecteur d'académie, Daniel Auverlot. Il a précisé qu'une douzaine de lycées étaient bloqués dans le département.

M. Auverlot a demandé aux chefs d'établissements de prévenir les familles des lycéens :

« Des éléments incontrôlables, qui n'appartiennent d'ailleurs souvent pas à l'établissement, profitent des blocages pour jeter des projectiles et commettre des dégradations. Et c'est regrettable. »

Hier à Caen un lycéen de 19 ans a été blessé au crâne, par un tir tendu de bombe lacrymogène selon son père qui a annoncé ce matin qu'il portait plainte contre X.

Selon le ministère de l'Education nationale, 342 lycées étaient « perturbés à des degrés divers » ce jeudi matin en France, soit 7,9% des 4 302 lycées du pays. Le syndicat UNL compte de son côté 500 établissements « mobilisés », dont la moitié sont « bloqués » en signe de protestation contre la réforme des retraites.
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