un peu de douceur ....

D'ici au printemps 2015, les arbres auront remplacé les espaces publiciatires dans les rues de Grenoble. La municipalité verte a en effet décidé de ne pas reconduire son contrat avec le groupe d'affichage et de mobilier urbain JCDecaux, et de ne pas lancer de nouvel appel d'offre non plus. L'objectif est de "libérer l'espace public grenoblois de la publicité en développant les espaces d'expression publique", précise la ville dans un communiqué de presse.

Elle a l’air d’un chien comme les autres, Masha, mais ses yeux trahissent une profonde tristesse, une fois à l’intérieur de l’hôpital de Novossibirsk en Sibérie. Selon le personnel médical, le maître de Masha est décédé ici l’an dernier et, depuis, la chienne vient tous les jours dans l‘établissement.

“Elle attend son maître, souligne Anna Vorontsova, une infirmière. Elle ne va nulle part. Des filles ont essayé de l’amener chez elles, mais elle s’en va. Elle ne veut vivre nulle part ailleurs. Pas plus tard que vendredi soir, quelqu’un de Shelkovichikha l’a amenée et elle est revenue ici à trois heures du matin”.

La fidèle Masha ne retrouvera jamais son maître, mais le personnel et les patients assurent qu’ici, elle a un lit chaud et de quoi manger.

Par solidarité avec le mouvement social contre la Loi travail, Camille Senon, 93 ans, rescapée du massacre d'Oradour-sur-Glane en 1944, a opposé une fin de non recevoir à la proposition du Premier ministre de l'élever au rang de commandeur de l'Ordre national du mérite.

“La légion d’honneur ? Ils peuvent se la garder”. C’est ainsi que La Stampa résume “la protestation de l’actrice Sophie Marceau, exaspérée que François Hollande choisisse de décorer Mohammed Ben Nayef, le prince héritier et ministre de l’Intérieur saoudien, de la même distinction (la plus importante en France)”.

A plusieurs reprises, les hommes en bleu, lancés dans des charges contre la première ligne des manifestants en noir, ont été contraints de reculer. Là aussi, c'était du jamais-vu à Paris.
« Nous sommes les indigènes d’une colonie intérieure devenue incontrôlable », « Nous sommes en marche, pas en marge », « Quand le gouvernement ment, la rue rue ». Ou encore : « Jusqu’ici tout va bien. Ce qui compte c’est pas la loi Travail c’est l’insurrection qui vient ».

Un habitant du quartier a soumis, samedi 11 février, un projet au budget participatif de la ville pour le raser, purement et simplement. Une provocation qui a tout de même reçu le plus grand nombre de "J'aime" parmi les 2 448 projets soumis.
"Le Sacré-Cœur est une verrue versaillaise qui insulte la mémoire de la Commune de Paris. Le projet consiste en la démolition totale de la basilique lors d'une grande fête populaire." En effet, la Basilique a toujours été considérée comme le symbole de la répression et de l'expiation de la Commune pour de nombreux militants de gauche. Le bâtiment avait été érigé sur la colline de Montmartre, là ou commença l'insurrection de la Commune de Paris, le 18 mars 1871. Depuis, des tags anarchistes sont régulièrement laissés sur le monument à chaque date anniversaire.