vite, je vais vomir ...

La presse britannique a salué l'annonce "tant attendue" du mariage du prince William et de sa petite amie de longue date, Kate Middleton, "les nouveaux romantiques", dont les fiançailles ont été "scellés" avec la bague de Lady Diana, la mère défunte du futur époux.

A l'exception de The Independent, tous les journaux nationaux, y compris le très sérieux Financial Times, ont consacré leur Une à la nouvelle, avec des photos du couple rayonnant qui a posé mardi pour la presse.
"On y est arrivé enfin, chéri", titre le Daily Mail, en référence à la longue romance entre les deux jeunes tourtereaux, qui se sont connus sur les bancs de l'université en 2001.
"Les nouveaux romantiques", lance The Times, en référence à la bague offerte par le prince William à sa dulcinée, le superbe saphir entouré de diamants que le père du futur marié, le prince Charles, avait offert à Lady Diana en 1981.

"Quelque chose qui a été emprunté, quelque chose qui est bleu: la bague de Diana scelle les fiançailles royales", ajoute le quotidien.
"C'est un moment étincelant pour l'histoire de la royauté et un hommage touchant d'un fils à sa mère adorée", décédée en 1997 dans un accident de voiture à Paris, poursuit le tabloïd Daily Mirror, qui a choisi une photo du couple où Kate, aux bras de son homme, regarde fièrement sa bague.
"Avec la bague de maman, je t'épouse", titre le tabloïd The Sun, qui met en parallèle en Une une photo des futurs époux prise mardi et une des parents du prince William, prise le jour de l'annonce de leurs fiançailles. Sur les deux clichés, les deux femmes posent en robe bleu roi, assortie à leur bague.

"Kate est très spéciale: le verdict du prince sur sa future épouse, et c'est pourquoi elle mérite la bague de sa mère", commente The Daily Telegraph.
De nombreux journaux soulignent aussi les origines de Kate Middleton, "une roturière", qui pourrait devenir un jour reine. "William et Kate nous permettront d'adapter la monarchie au 21e siècle", estime The Sun.
"Il n'y a pas très longtemps encore il aurait paru impossible pour la fille d'une ancienne hôtesse de l'air de devenir un jour reine d'Angleterre. Aujourd'hui, c'est la réalité et cela démontre que la Grande-Bretagne est en train d'en finir avec un snobisme basé sur les classes sociales", ajoute le journal.

Dans son éditorial, The Times, prisé par l'establishement britannique, souligne aussi qu'"il y a des moments comme celui-ci où la monarchie se renouvelle (...). Kate Middleton est une roturière mais elle a montré une dignité et un courage peu communs dans sa décision".
Le Guardian, de centre-gauche, insiste pour sa part sur le moment choisi pour l'annonce des noces entre le prince William, deuxième dans l'ordre de succession au trône d'Angleterre, et Kate Middleton: "Un mariage royal en période d'austérité". Une référence au plan de restrictions budgétaires radicales annoncées en octobre par le gouvernement du Premier ministre conservateur David Cameron.
Ce mariage, qui sera organisé au printemps ou à l'été 2011 à Londres, va "remonter le moral" de la Grande-Bretagne "en pleine déprime", ajoute le quotidien conservateur The Daily Telegraph.

Un mort, un blessé. C’est le bilan d’une fusillade qui s’est produite hier soir dans une cité des quartiers nord de Marseille. Le jeune homme tué avait seize ans, le blessé seulement onze.

Selon les premiers éléments de l’enquête, les coups de feu ont été tirés depuis deux voitures à bord desquelles plusieurs personnes, armées notamment de fusils d’assaut kalachnikov, avaient pris place pour ce qui s’apparentait à une “expédition punitive” liée à un trafic de drogue. L’adolescent s’est rendu par ses propres moyens à l’hôpital avant d’y décéder des suites de ses blessures.

Grièvement blessé par balles au dos, au bras et à la jambe, le jeune garçon a été pris en charge sur place par les marins-pompiers avant d’être conduit à l’hôpital de permanence. Les enquêteurs le soupçonnent d’être un guetteur dans le cadre du trafic de stupéfiants.

Un adolescent mort, un enfant grièvement blessé. La fusillade qui s’est produite vendredi soir dans une cité des quartiers nord de Marseille a relancé le débat sur la violence dans la région marseillaise ; déjà une quinzaine de règlements de comptes meurtriers depuis le début de l’année. Le ministre de l’intérieur, Brice Hortefeux, se rendra sur place cet après midi pour faire le point de la situation et "décider des mesures à prendre".


Les renforts de Vigipirate dans le métro marseillais
©Reuters/ Jean-Paul Pelissier

Dans un communiqué, le maire UMP de Marseille, Jean-Claude Gaudin, a exigé “les renforts de police nécessaires pour enrayer cette dérive : l’Etat doit désormais nous entendre pour doter la cité phocéenne des effectifs de police nationale adaptés, et répondre ainsi efficacement à ces violences inacceptables”.

Demande émise également par Patrick Mennucci, élu (PS) marseillais et président du groupe d’opposition au conseil municipal, qui demande l’organisation par le maire d’un débat sur ces violences lors du prochain conseil municipal le 6 décembre.

Appel aux habitants"

“Tous les jours, les services de police interpellent des dealers, des gens en possession d’armes, tous les jours, des gens sont condamnés ici à Marseille mais il faut encore amplifier ce travail en unissant toutes les forces de sécurité et en demandant aux habitants de nous aider” par le biais de témoignages sous X par exemple, propose le responsable du parquet de Marseille.

Peines légères pour deux soldats israéliens qui ont utilisé un enfant pour chercher des explosifs

Deux soldats israéliens, coupables de s’être servis d’un enfant palestinien comme bouclier humain lors de l’offensive contre la bande de Gaza en décembre 2008, ont été condamnés à des peines légères par un tribunal militaire.


Les militaires avaient été reconnus le mois dernier coupables d’"excès de pouvoir ayant mis en danger de la vie d’autrui" et de "conduite non conforme aux normes" de l’armée. Ils ont été condamnés ce dimanche à trois mois de prison avec sursis et rétrogradés du rang de sergent-chef à celui de sergent.

Les deux hommes avaient forcé un enfant de neuf ans à fouiller des sacs appartenant à des "suspects palestiniens", susceptibles de contenir des explosifs. Une pratique formellement interdite par un arrêt de la Cour suprême israélienne, qui considère qu’elle revient à utiliser un civil comme bouclier humain.

Dans une déclaration à l’ONG Défense des Enfants-International (DEI), le jeune Palestinien a affirmé qu’il avait eu peur de mourir. "J’ai cru qu’ils me tueraient. J’ai eu très peur et j’ai mouillé mon pantalon", a-t-il raconté.


Le représentant de l’organisation en Cisjordanie a qualifié ce verdict d’"incroyable", et estimé que le procès était destiné à contrer les accusations du rapport du juge sud-africain Richard Goldstone, commissionné par l’ONU, selon lequel Israël a commis des "crimes de guerre" pendant les 22 jours de l’opération Plomb durci à Gaza.

Dans son rapport, le juge Goldstone avait recommandé la saisine de la Cour pénale internationale (CPI) si l’Etat hébreu refusait d’ouvrir une enquête "crédible" sur les exactions.

Pour expliquer sa sentence, le tribunal militaire a souligné que l’incident était survenu à un moment où les forces israéliennes étaient dans une position "difficile et dangereuse" et avaient passé plusieurs nuits sans sommeil.

L’opération Plomb durci, lancée en décembre 2008, avait soulevé de vives critiques internationales. Environ 1 400 Palestiniens et 13 Israéliens avaient été tués au cours de cette campagne militaire.

ivo a écrit:c'est pas le film qui me fait vomir (meme si on peut en débattre ...) c'est les thunes.

Il avait projeté une vidéo anti-avortement à des élèves de deux classes de seconde. Un professeur d'histoire-géographie du lycée des Iscles de Manosque (Alpes-de-Haute-Provence) vient d'être suspendu par le recteur de l'Académie d'Aix-Marseille à la demande du ministre de l'Education Nationale.

«J'ai demandé au recteur de suspendre à titre conservatoire» ce professeur et «une procédure disciplinaire va être engagée à son encontre», a déclaré mercredi Luc Chatel, sur RTL.

Cette suspension est d'une d'une durée de quatre mois
Selon le quotidien La Provence, cette vidéo - diffusée aux élèves mi-octobre - montrait des foetus brûlés et amputés. Un tract condamnant la loi Veil, qui a légalisé l'interruption volontaire de grossesse (IVG), aurait ensuite été distribué aux élèves. «Au début, on est resté tétanisé», a réagi un des élèves interviewé dans La Provence. «C'était écoeurant», ajoute une autre lycéenne. A la suite de cette diffusion, certains parents avaient carrément interdit à leur enfant d'assister au cours du professeur.

C'est au vu de «l'accroissement du trouble provoqué dans l'établissement provoqué par la médiatisation de l'affaire» que la suspension du professeur a été prise, d'après le recteur de l'Académie.

Concernant l'enquête, «des éléments» ont été «déjà rassemblés», a-t-il poursuivi. Elle a été déclenchée il y a quelques semaines après une saisine du proviseur et des parents d'élèves. Ces derniers s'étaient plaints dans un courrier dénonçant «le prosélythisme religieux constant» de l'enseignant et ses attaques contre la loi Veil.

«Ce qui s'est passé est inacceptable, les professeurs sont tenus à un principe de neutralité, de respect de la personne», a conclu le ministre, Luc Chatel.

En rachetant les 43% de parts du PDG Gérard Lignac, le Crédit Mutuel prend le contrôle du groupe l’Est Républicain .

La banque fédérative, qui détient désormais 80% des votes du groupe en assemblée générale, devient le premier groupe de presse quotidienne régionale français

Colombes : il décède après avoir reçu deux décharges de Taser



30.11.2010, 09h48 | Mise à jour : 12h22

Un Malien de 38 ans en situation irrégulière est décédé dans la nuit de lundi à mardi à Colombes (Hauts-de-Seine). Il aurait reçu deux décharges du pistolet à impulsions électriques Taser pendant son interpellation par la police, a indiqué mardi une source policière.

Vers 23h30, selon la préfecture de police (PP), des agents de la direction territoriale de la police de proximité (DTSP) des Hauts-de-Seine ont été appelés pour un différend rue Gabriel-Péri, à Colombes, entre l'homme et son ami qui l'hébergeait.

«Il a pété les plombs»

Au moment du contrôle d'identité, le Malien a tenté de frapper les policiers à l'aide d'un marteau. Il a «pété les plombs», raconte une source policière, et est allé chercher un gros marteau pour frapper l'un des policiers au niveau de l'arme accrochée à la ceinture.

Selon la PP, les policiers ont fait usage de gaz lacrymogènes et d'un bâton de défense afin de le neutraliser «sans succès».

L'homme, décrit comme violent et de forte corpulence par une source policière, s'enfuit dans les étages de l'immeuble. Il se débat violemment et blesse quatre des huit policiers venus le maîtriser. C'est à ce moment-là, toujours selon la PP, que les policiers ont fait usage d'un pistolet à impulsion électrique car l'homme était «très difficilement maîtrisable».

Le Samu n'a rien pu faire pour le réanimer

Les policiers font par deux fois usage du Taser mais les décharges ne semblent pas avoir d'effet sur lui. Une fois maîtrisé, l'homme est escorté dans l'ascenseur pour être emmené au commissariat mais il fait un malaise.

Les sapeurs-pompiers, qui étaient déjà sur place pour soigner les policiers blessés, ont porté assistance à la victime. Malgré l'aide du Samu, l'homme n'a pas pu être réanimé et est décédé vers 01h30, selon la PP.

Le parquet de Nanterre a saisi l'Inspection générale des services (IGS) pour connaître les circonstances exactes de cette interpellation.

«Au cours de l'interpellation, il y a eu usage de Taser par deux fois, a expliqué une porte-parole de la police. A l'issue de l'intervention, la personne est décédée d'un malaise dont l'origine reste à déterminer.»

Le maire de Colombes prudent sur le lien entre le décès et le Taser

Le directeur de Taser France, Antoine di Zazzo, a déclaré à l'AFP que «seule l'autopsie de cette homme permettra de dire si notre pistolet est responsable de ce décès». «A ce jour, dans le monde, le Taser n'a jamais tué quelqu'un», a-t-il assuré.

Le maire PS de Colombes (Hauts-de-Seine), Philippe Sarre, a également recommandé la prudence sur un lien avec cette arme.

«Il est indispensable d'attendre les conclusions de l'enquête de l'IGS (Inspection générale des services, "police des polices") et de l'autopsie qui, seule, permettra de déterminer les causes du décès, déclare le maire, dans un communiqué. Car rien dans les faits actuellement connus ne permet de tirer des conclusions sur la responsabilité des forces de police, ni même sur le lien avec l'utilisation du Taser».

«Je déplore bien évidemment ce décès», dit aussi le maire. «J'en appelle à la sagesse et à la responsabilité de chacun pour éviter toutes rumeurs infondées» et «comprends qu'à l'occasion de cet incident dramatique, la question de l'utilisation du Taser soit à nouveau posée».

Taser: le clandestin est mort "d'asphyxie aigüe"

Par LEXPRESS.fr avec AFP, publié le 01/12/2010 à 14:42


Les premières conclusions de l'autopsie indiquent que l'inhalation de gaz aurait causé la mort du cladestin interpellé à Colombes.

Le Malien qui avait été neutralisé avec un Taser lors de son interpellation à Colombes (Hauts-de-Seine) est mort mardi d'"une asphyxie aiguë et massive", a annoncé mercredi le parquet de Nanterre.

Pour l'heure, "il n'y a pas de cause certaine, unique et absolue du décès", a prévenu une porte-parole du parquet de Nanterre.

Selon des conclusions provisoires de l'autopsie réalisée mercredi, l'homme de 38 ans "est mort d'une asphyxie aiguë et massive par inhalation de gaz puisque du sang a été retrouvé dans ses poumons", a expliqué cette source.

Le médecin légiste a également constaté "un coeur dur et contracté, peut-être en lien avec l'utilisation du Taser", mais "ces résultats doivent être complétés par une expertise toxicologique et un examen des organes", selon la porte-parole.

Le Malien en situation irrégulière est mort dans la nuit de lundi à mardi à Colombes (Hauts-de-Seine) après avoir reçu deux décharges du pistolet à impulsions électriques Taser pendant son interpellation, relançant les interrogations sur cette arme.

Lors de son interpellation, les policiers avaient fait usage de gaz lacrymogènes et d'un bâton de défense sans parvenir à le neutraliser.

Les décharges de Taser n'auraient pas eu d'effet

Décrit comme particulièrement violent et de forte corpulence par la police, l'homme avait tenté de s'enfuir dans les étages et avait blessé avec un marteau quatre des huit policiers qui le poursuivaient. La police avait alors fait usage du Taser.

Les décharges n'auraient pas eu d'effet sur lui, selon la police.

Deux pistolets Taser ont été utilisés par les policiers. L'une des deux armes a filmé une partie de l'interpellation, selon une informations d'Europe 1, confirmée par le parquet de Nanterre.

Cependant, seul le second tir des policiers a été filmé, l'arme à l'origine du premier tir étant un modèle de remplacement qui n'est pas équipé d'une mini-caméra.

C'est la première fois en France qu'une utilisation du Taser coïncide avec un décès. L'Inspection générale des services (IGS, "police des polices") a été saisie d'une enquête par le parquet de Nanterre.

Le président du Front national comparaissait devant le tribunal correctionnel de Paris pour incitation à la haine raciale. En cause : des affichettes de campagne "Non à l’islamisme" diffusées en février dernier sur Internet et dans le sud de la France. Le parquet avait demandé un an d’inégibilité.

Jean-Marie Le Pen a été relaxé. Le tribunal a estimé qu’il n’était ni l’auteur, ni le responsable des sites internet en question, et s’est déclaré incompétent territorialement concernant l’utilisation de cette affiche qui montrait la carte de France recouverte par le drapeau algérien.

Auteur :moratoiretaser@yahoo.fr
Description :Premiers signataires: Olivier Besancenot, Noël Mamère, Dominique Voynet, Frédéric Sarkis, conseiller municipal, Claire Gagnière, conseillère municipale, Catherine Bernard, maire adjointe, Dominique Frager, maire adjoint, Patrick Chaimovitch, maire adjoint (élu(e)s Europe Ecologie Les Verts de Colombes), Jérôme Galan (NPA Colombes), Annie Lemonnier ("Les Motivé-e-s" Colombes)
A l'attention de Ministre de l'intérieur

Moratoire immédiat sur l'utilisation du pistolet Taser.

Le pistolet à décharge électrique Taser mis en service en France depuis 2005 voit son utilisation généralisée au sein des forces de l'ordre. Les contrats juteux de cette société sont ainsi financés par l'argent public.
De nombreux rapports, dont ceux d'Amnesty International, ont fait état du lien étroit qui existait entre l'utilisation de ce pistolet par la police et le décès de plusieurs dizaines de personnes aux Etats-Unis et au Canada. Le Comité de Prévention de Torture de l'ONU écrit explicitement que le «Taser peut tuer».
Depuis le 3O novembre, nous savons qu'un premier décès a eu lieu suite à une interpellation à Colombes d’un Malien de 38 ans par des policiers lui ayant administré une double décharge électrique du pistolet Taser.
Une décharge électrique de 50 000 volts envoyée à quelques mètres peut tuer, a tué et peut tuer encore.
Nous réclamons un moratoire immédiat sur l'utilisation du pistolet Taser au Ministre de l'Intérieur.

Olivier Besancenot, Noël Mamère, Dominique Voynet, Fredéric Sarkis, Conseiller municipal, Claire Gagnière, conseillère municipale, Catherine Bernard, Maire adjointe, Dominique Frager, maire - adjoint, Patrick Chaimovitch, maire - adjoint (élu(e)s EELV de Colombes) Jérôme Galan (NPA Colombes), Annie Lemonnier ("Les Motivés", Colombes).

Contact: moratoiretaser@yahoo.fr

Auteur :Caracci Jean-François
Description :Suspension des sanctions contre le professeur.
A l'attention de Toutes et Tous
Il n'est pas acceptable qu'un professeur soit suspendu de ses fonctions simplement parce qu'il a informé ses élèves des conséquences que peuvent avoir l'Avortement sur la Vie qui se préparait à naître!

Nous demandons au Ministère de l'Education Nationale de suspendre toute sanction contre ce professeur!

La Société a légalisé l'Avortement, soit, mais celle-ci est devenue d'une banalité inacceptable!

Une femme qui a été violée ou une femme qui a un risque majeur pour sa vie ou celle de l'enfant a naître doit pouvoir avorter!

Mais une femme qui avorte simplement parce qu'elle a oublié sa pillule ou a changé d'avis cela n'est pas acceptable!

Un enfant n'est pas un jouet, une circonstance, un caprice!

Le Droit à l'Information ne peut être remis en question dans notre Démocratie! Car il s'agit de cela dans cette affaire!

Auteur :Collectif contre la Loi Besson c/o MRAP Lille 23 rue Gosselet 59000 Lille contrelaloibesson.npdc@gmail.com
Description :Collectif Nord Pas-de-Calais contre la Loi Besson
A l'attention de Sénateurs et Sénatrices
En ce moment, le projet de Loi Besson passe à l’Assemblée Nationale et au Sénat. Cette 5ème loi sur l’immigration
en 7 ans est une nouvelle régression des droits et des conditions d'accueil des étranger-e-s en France.
Une nouvelle fois, les droits de l’homme et le droit d’asile sont battus en brèche.
Quelques mesures parmi les plus graves :
• Allongement à 45 jours de la durée de rétention (contre 32 actuellement)
• Affaiblissement de la Justice
• Création du bannissement (mesure d’interdiction de retour, à la discrétion du Préfet)
• Extension de la déchéance de nationalité
• Restriction du droit au titre de séjour pour les étranger-e-s gravement malades
J’exige donc le retrait de cette loi xénophobe.

En visite officielle pendant quatre jours en Inde, Nicolas Sarkozy s’est autorisé hier une parenthèse touristique en se rendant au Taj Mahal, à Agra au nord du pays. Une initiative qui a plu aux médias indiens : l’image du couple devant le "monument de l’amour" fait aujourd’hui la une des journaux, tout comme les tenues de Carla Bruni.
"Carla Bruni-Sarkozy est partout", revue de presse et précision


La "romance" du couple Sarkozy au Taj Mahal fait la une des médias indiens.
REUTERS/Brijesh Singh

"Sarkozy en vacances romantiques avec Carla" titre The Sunday pionneer. "Juste avant le coucher du soleil, les barricades ont été sorties, les sirènes ont retenti, les gens ont dû déserter les rues et le trafic a été paralysé. Soudain, Agra est devenu calme, très calme", écrit pour sa part The Sunday Express.

"Ils sont venus, ils ont vu et et sont tombés amoureux... du Taj" : avec ce titre, The Times of India met en scène le côté "romantique" de cette visite.

Si le couple présidentiel est tombé amoureux du Taj Mahal, le journal, lui, semble avoir succombé à Carla Bruni et Nicolas Sarkozy. "Le couple, qui souhaitait préserver son intimité, a atteint seul le monument et y a passé près d’une heure, sous le regard attentif mais discret de deux groupes de gardes du corps français", détaille le journal.

"La classe de Carla"

The Times of India qui laisse aussi une large place à la première dame de France en titrant : "La classe de Carla laisse Bangalore sans souffle".

Car l’épouse du chef de l’Etat semble voler la vedette à son mari, au moins le temps d’une journée. Et c’est le cas dans tous les médias : la chaîne de télévision Times Now titrait hier "Le jour de Carla."

Violaine Jaussent, avec agences